CINE FOLIE 2
Datte: 27/04/2018,
Catégories:
Hardcore,
Auteur: Jeannot94, Source: xHamster
(Fin Alternative de mon histoire CINE FOLIE)
"Je ramasse mon manteau, me lève, passe précipitamment devant le papi, qui ne manque pas de me mettre la main aux fesses. Je manque de tomber et arrive devant la porte au hublot. Toute tremblante, j’enfile mon manteau et jette un dernier regard à la salle pour voir si je ne vais pas être suivie et là… stupeur!"
Dans la rangé derrière mes deux compères, sont assis une dizaine d'hommes. Ils me dévisagent. Il ne fait aucun doute qu’ils ont matés tout le long. Le rouge remonte à mes joues. Machinalement, avant de pousser la porte, je porte ma main à mes lèvres. Je sens, à une de mes commissures, encore un peu de sperme qui commence à sécher. Si ça se trouve, j’en ai partout. Impossible de sortir ainsi!
L’idée de monter aux toilettes ne m’enchante pas, mais après tout, je suis une grande fille et je saurai me défendre si il le fallait. Je longe, donc, la salle en direction de l’escalier, la tête baissée, en espérant qu’il n’y aura pas brusquement une image trop claire, qui anéantirait la discrétion dont j’essaie de faire preuve. C’est une fois dans l’escalier, que je me rends compte que de toute façon, on est obligé de me voir et de repérer que je suis cataloguée maintenant comme une salope.
De toute manière c'est trop tard, je m'en fou bien et franchement cela m'émoustille même encore quand je passe sous le regard vicelard de ses messieurs, mais je veux juste vérifier mon apparence dans un miroir pour pouvoir repartir. ...
... Cela ne me prendra que quelques secondes. Je pousse la porte. Un couloir part vers la droite. Au bout un homme adossé au mur, face à l’entrée des toilettes hommes. Mais avant cela, il y a une porte à deux battant, style western, indiquée comme étant les toilettes femmes. Je pousse les battants. Je suis de suite surprise par la propreté des lieux. Ces messieurs respecteraient t’ils cet endroit ?
J’en suis très étonnée, mais ravie. Au dessus d’un lavabo nickel, il y a un miroir. Je me penche et inspecte mon visage. Tout va bien, il n’y a rien. La netteté de l’endroit me fait oublier que je suis dans un lieu peu fréquentable, et je décide de profiter de ma présence ici pour assouvir un besoin bien naturel avant de reprendre le métro. Je pousse la porte d’une des trois cabines disponibles, et m’assied après avoir déposé des feuilles de papier sur la lunette. Les coudes sur les genoux, je me perds un peu dans mes pensées. Un frôlement sur mes cheveux près de mon oreille gauche, me fait sursauter et je me redresse d’un bond. Je n’en crois pas mes yeux. Un sexe sort de la cloison, raide, dur, semblant me défier. Je n’avais pas remarquée ces deux trous de chaque cotés en entrant. Je ne sais plus quoi faire. Mon instinct me fait regarder dans l’autre. Je crois mourir en voyant un oeil me regarder. Paniquée, je me lève et tire la porte pour m’enfuir. Je n’y parviens pas. Elle semble bloquée de l’extérieur. L’oeil est maintenant remplacé par un membre, tout autant dressé que l’autre. ...