1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1019)


    Datte: 09/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... je n’aurai que de bonnes choses à Lui rapporter sur toi ! Tu auras fait honneur ton éducation, je te félicite. Et pour te récompenser, comme tu n’as pas eu le droit à la jouissance de la journée, je vais t’offrir un orgasme. Alors savoure-le bien ! De mon côté, j’ai aussi besoin de me vider les couilles alors autant en profiter.
    
    Il me fit positionner à plat sur son bureau, et il m’enfila son sexe dans mon trou soi-disant le plus serré, mais l’était-il vraiment après tout ce qu’il avait subi aujourd’hui ? Et en même temps qu’il m’enculait à grands coups de boutoirs et sans ménagement, il me titillait le clitoris, le faisant rouler, le pinçant, l’étirant, pénétrant ma chatte de plusieurs doigts… il m’ordonna de jouir au moment où il laissait également échapper des mugissements annonçant sa décharge au fond de mes entrailles dans d’ultimes coups de reins puissants ponctués de nombreux ‘’han’’ de bûcheron. A avoir été aussi sollicitée toute la journée, n’ayant droit qu’à dix minutes de pause dans le bureau de Mario, le temps d’avaler une gamelle de pâté et une écuelle d’eau, mon orgasme fut d’une puissance incroyable ! Mais également épuisant ! Car juste après que le gérant m’ait ...
    ... libéré de son étreinte, comblée, vidée, je glissais doucement au sol, n’ayant plus la moindre force. Mario me prit dans ses bras et me porta à l’étage, dans l’appartement où il vivait seul. Il me déshabilla et me coucha dans une grande panière de chien disposé au pied de son lit, et me posa par-dessus une douce couverture.
    
    Sans aucune résistance je me laissais couler dans les bras de Morphée jusqu’au lendemain matin, où le tumulte parisien me réveilla tôt. Je patientai son réveil en position prosternée comme si je me trouvais en présence du Maître. Alors c’était Lui le propriétaire ? Je L’avais donc bien servi directement et cela me remplissait d’une joie profonde ! Quand Mario se réveilla, je dus préparer le petit déjeuner qu’il prit à table tandis que je devais le sucer mais sans le faire éjaculer. Il ne le fit qu’à la fin de son repas, dans une écuelle, où étaient placés des morceaux de croissants. C’était mon petit déjeuner. Il m’ordonna de me rhabiller et me prévint que j’étais de nouveau attendu, et il me tendit un papier, semblable à celui que Walter m’avait remis la veille, mais avec une nouvelle adresse, évidemment. Qu’allait me réserver cette deuxième journée ? …
    
    (A suivre…) 
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