La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1019)
Datte: 09/12/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... mais qui ne tardèrent à la sortir pour venir me baiser. On m’encula mais aussi me pénétra dans ma chatte. Il y avait aussi quelques femmes lesquelles je dus lécher, leur sexe à l’air et sucer des queues tout en restant à genoux, mains dans le dos et mes orifices encombrés et brulants...
Cette première vague partit après avoir testé sur moi quelques fouets, badines, martinets, et même branches d’orties sur mes parties intimes (mais où avaient-ils pu trouver des orties sur Paris ?). Cette dernière expérience… comment la décrire… ? On me fouettait surtout l’entrejambe, et cette douleur urticante sur mes lèvres intimes gonflées de désirs jouissifs, mélangée à la douleur brûlante du gingembre… Je ne cherchais même plus à retenir mes gémissements, mes cris… Je cherchais seulement à ne pas jouir ! Trop excitant étaient ce mélange de traitement ! Après tout, c’est la seule chose qu’ils avaient exigé de moi à ce moment-là. Quand ils en eurent assez de leur jouet sexuel que j’étais, de leur chose pour les soulager, pour leur vider les couilles pour les hommes et pour les femmes pour lâcher leur cyprine sur mon visage, ils partirent tous. Et c’est Mario qui vint me chercher, m’enleva le gingembre et me passa une crème apaisante à l’intérieur de mes orifices et sur le passage des orties pour me soulager.
Le reste de la journée se passa ainsi. Je crois bien que toutes les tailles de plug et de vibro du magasin furent testées sur moi, mais aucune ne put me faire peur, car on trouvait ...
... des spécimens encore plus imposants au Château. Je fus régulièrement emmenée aussi dans les salles vidéo, très souvent devant de mauvais films pornos, accompagnée d’hommes solitaires qui essayaient de reproduire ce qu’ils voyaient sur l’écran en temps réel. Ces moments-là ne furent pas très passionnants… Je dus également sortir dans la rue faire la pute et aguicher les promeneurs, seuls ou en couple, afin de ramener des clients à Mario. Je fus déshabillée et rhabillée un certain nombre de fois… La journée s’acheva donc enfin. Mario m’ordonna de me mettre nue devant lui, une fois la boutique fermée, comme la chienne soumise MDE que j’étais. Il se balada dans les rayons, choisit un collier et une laisse, des pinces mordantes pour mes tétons et mes lèvres intimes, et un bâillon-boule.
- Voilà tu es magnifique ainsi à ta place ! Au lieu des pinces, je t’aurai bien percé les tétons et les lèvres pour t’y mettre des anneaux, mais tu ne m’appartiens pas ! Bien reste à genoux, le temps que je fasse les comptes de la journée. (Il resta 40 minutes absorbé, puis il releva la tête avec un sourire ravi :) Mais c’est que tu m’as fait faire du chiffre d’affaire en une seule journée ! Tu sais que presque tout ce que mes clients ont testé sur toi, ils l’ont finalement acheté ? Monsieur le Marquis va être drôlement content des chiffres ! (je ne bougeais pas, mais il dut voir mon air surpris) Eh bien oui ! Sache que c’est le propriétaire de ce sexshop, je ne suis que le gérant. En tout cas, ...