1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1019)


    Datte: 09/12/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... cuisses laissant un libre accès entre les mailles à mes orifices encore plus offertes. Il me glissa un bandeau, voulant que je me le mette sur les yeux. Il m'assouplit l'anus d'un, suivi de plusieurs doigts. Puis il y glissa trois glaçons. Le froid me fit contracter les sphincters et donc les remonter un peu. Il m’administra le même traitement dans la chatte. Il attendit quelques secondes avant d'enfoncer dans mes orifices autre chose que je ne reconnus pas. Et il attendit…
    
    Au début rien ne se passa. Puis petit à petit, je sentis mes parois internes vaginales et anales picoter, puis chauffer jusqu'à brûler. Habituée à subir en silence, je ne dis rien mais je ne pouvais m'empêcher de gigoter, et ma "nacelle" finit par se balancer. Lorsque ce fut satisfaisant pour mon tourmenteur, alors que les larmes ruisselaient sur mon visage, il saisit un fouet et me l’appliqua au rythme de mes oscillations. Et paradoxalement, cette position inédite, cette impossibilité de bouger mais tout de même de me balancer, et cette douleur cuisante, m’excitaient au plus profond de moi et j'aurai fait n'importe quoi pour avoir le droit de jouir tant la montée du plaisir se faisaient mouiller. Il dut le sentir ou entendre mes gémissements murmurés, que je ne pouvais plus retenir tant la brûlure dans les orifices semblait intenses. De plus, je sentais ma cyprine couler le long de mon entrejambes, ce qui n’avait pas du échapper au petit homme.
    
    - Alors la chienne ! T’as envie de jouir, je parie, ...
    ... hein ? Eh bien non ! Il parait que les chiennes MDE sont endurantes, alors tu vas supporter ces morceaux de racines de gingembre dans tes petits orifices de salope encore un petit moment et tu n’auras aucun droit de jouir, en tout cas pas avec moi !
    
    Et après avoir donné quelques nouveaux coups de fouet qui, malgré les cordelettes du filet, cinglait bien ma peau, il se saisit d’une roulette de Wurtemberg et s’amusa à la passer sur mes lèvres intimes, mes fesses, mon anus, me faisant me tordre de plus belle de douleur mais surtout d’excitation qui se démultipliait à vitesse grand V. La divine torture dura une bonne demi-heure. Entre temps quelques personnes étaient arrivés et nous regardaient, avec envie pour beaucoup, d’autres avaient un regard moqueurs et pervers pour moi, d’admiration pour lui. Certains avaient ouvert leur braguette et se masturbaient en silence tout en fixant mes orifices exposés à leur regard gourmand. Puis l’homme me fit redescendre et sans m’enlever les morceaux de gingembre, m’ordonna de me mettre à genoux, il sortit sa grosse queue et me baisa la bouche, me maintenant la tête, faisant cogner sa queue au fond de ma gorge, jusqu’à ce qu’il s’y immobilise et gicle sa semence en de longs jets épais manquant de m’étouffer. Puis il me repoussa, ce qui me permit rapidement de reprendre de grandes bouffées d’air. S’ensuivit un défilé de queues par ceux qui se branlaient déjà depuis un bon moment et même par ceux qui n’avaient pas encore osé exhiber leur verge ...