1. Une rencontre insolite (1)


    Datte: 08/12/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: Emil, Source: Xstory

    ... oblige ma tête à toucher le sol alors que mes fesses restent érigées sous son ventre. Sa queue durcie heurte mes cuisses et mes fesses à la recherche d’un trou à fourrer. Je me comporte comme une chienne, écarte mes cuisses et baisse mon séant pour en faciliter l’accès. Je tressaille lorsque son sexe entre en moi avec une facilité qui me déconcerte. Il engage un violent mouvement de va-et-vient, alors que son poids creuse mes reins. Ses pattes avant me labourent les flancs sans que j’en ressente la douleur. Sa bave coule en abondance sur ma nuque. Par instants, il mordille mon cou et mes épaules. Son souffle trop rauque est à l’unisson de ma respiration haletante. Je sens la violence de son désir. Mes fesses sont en feu, jamais rassasiées de ce qu’elles subissent. Après quelques minutes de cette étonnante union des deux corps, le mouvement s’accélère. Je suis au bord de l’orgasme lorsque sa queue forme une boule au niveau de mon ampoule anale nous verrouillant fermement l’un à l’autre. Il ne bouge plus tandis que la boule masse en grossissant ma prostate. Je me sens prêt à défaillir tant la dilatation de mon cul est extrême et le massage prostatique efficace. Pourtant je ressens une espèce de plénitude dans le plaisir de lui appartenir sans pouvoir lui échapper. Mon corps n’est plus que le prolongement de son sexe. Il est tout entier en feu. Mon amant, fiché en moi se retourne péniblement, labourant au passage le bas de mon dos, et nous voici accouplés cul à cul, grotesques. ...
    ... Nous restons un long moment ainsi. Empli de lui, j’ai plaisir à cette totale et interminable soumission. J’aime d’être ainsi abaissé au niveau animal ou plutôt, devrais-je dire, vassal d’un animal. Il me domine et décide pour moi. Il me soumet à son désir. Soudain son vit explose dans mes tripes en de longues et chaudes giclées. Les spasmes du chien déclenchent les miens et de douloureuses éjaculations trop longtemps retenues qui s’éparpillent sur le sol. A cet instant précis, je serais capable de lui dire « je t’aime ». Nous donnons tous deux de la voix. Lorsque je m’effondre, épuisé et repu, mon amant, enfin libéré de mon corps, lape les abondantes sécrétions qui se sont déposées sur mon anatomie. Ses attentions m’apaisent autant qu’elles m’excitent. Avec beaucoup d’application et de douceur il m’aide du museau à me retourner et finit son office. Je m’endors dans cette position lascive : pantalon aux chevilles, T-shirt troussé, sexe demi-érigé, attributs offerts au regard de tous.
    
    Des cris de jouissance gutturaux vont me réveiller quelques instants plus tard. Lorsque j’ouvre les yeux, la surprise est totale. La grosse dame est maintenant totalement nue, couchée sur le dos, le bassin surélevé par le talus herbeux, le chien fiché entre ses grosses cuisses. Les pattes avant de l’animal clouent ses épaules au sol. Ses énormes seins sont agités comme deux bateaux à la dérive. Ses mains flattent compulsivement l’occupant de son sexe. Tous deux, après un court moment de calme ...