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Une rencontre insolite (1)
Datte: 08/12/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: Emil, Source: Xstory
Ciel de plomb, chaleur écrasante ! Voici une après-midi qui commence bien. Il est sérieusement temps de penser à dérouiller mes articulations. L’arrêt de bus est sans ombre. Lorsque l’énorme engin ouvre ses portes, la température monte encore de quelques degrés. Les passagers sont accablés, transpirants, inertes. Le lourd véhicule entame son périple cahotant au gré des rues désertes. Au bout de quelques minutes, je n’y tiens plus et décide de changer de direction. À proximité de la gare, je quitte mon autobus bringuebalant pour rejoindre la modernité. Je sais qu’en changeant de ligne je bénéficierai d’un peu de fraîcheur climatisée. J’y souscris et attends paisiblement l’arrivée de ce nouvel élément de confort. A peine monté à bord, je me plonge dans mon journal et consomme goulûment les nouvelles du jour. La fraîcheur me pénètre peu à peu. Je ressens enfin le doux effleurement du coton de mon jean usagé et du léger T-shirt que je porte, tous deux, à même la peau. Mon journal terminé, je laisse vagabonder mon regard sur les autres passagers. L’été a fait son œuvre. Les peaux sont découvertes, les décolletés profonds. Peu de traces de sous-vêtements viennent gâcher l’esthétique des fesses masculines et féminines. Grâce à la climatisation, les auréoles de transpiration sont absentes. Ma voisine d’en face a troussé sa robe jusqu’en haut des cuisses pour mieux profiter de la fraîcheur. Celle d’à côté joue des effets de décolletés au point que son anatomie commence à m’être ...
... familière. Les nombrils des filles, les épaules des garçons, cuisses et jambes des deux sexes vivent en liberté. Valse appétissante de seins et de fesses. J’apprécie le confort et la légèreté de mes chaussures de marche et du petit sac à dos qui complètent mon équipement. Mon frais carrosse quitte peu à peu le trop dense centre-ville pour des quartiers plus aérés. Je le laisse à son périple près d’un lycée, au carrefour d’une étroite route qui s’enfonce entre les pavillons vers la campagne. Je suis un instant ma voisine, descendue au même arrêt. Je complète mon examen de dos mais n’arrive pas à me faire une opinion sur ses fesses rondes qui semblent sans protection sous sa mini-jupe. La chaleur m’accable à nouveau jusqu’à ce que j’atteigne l’abri des arbres puis un court tunnel piéton franchissant une rocade. La ville s’éloigne, je traverse plusieurs hameaux espacés pour atteindre un chemin de terre qui s’enfonce entre les champs de blé. Les vestiges d’un bocage permettent de temps à autre quelques courtes stations à l’ombre. Je déboucle ma ceinture pour restreindre la pression de mon jean sur la peau. Ce dernier, transpiration aidant, épouse pleinement les formes de mon corps et s’immisce entre mes fesses. J’aimerais continuer nu mon périple pour profiter de ce petit souffle d’air frais qui se manifeste par instants. Mon esprit bat la campagne autour de ce rapport au corps si présent dans mes promenades solitaires. Le chemin de droite s’enfonce dans la forêt. Je n’hésite pas ...