Une rencontre insolite (1)
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: Emil, Source: Xstory
... une seconde à l’emprunter.
Vestiges des pluies torrentielles de l’été, le chemin s’avère de plus en plus défoncé. A un carrefour, je lis avec étonnement une plaque blanche clouée sur un arbre qui prohibe l’utilisation de tout véhicule dans cette zone. Quelques centaines de mètres plus loin, un portail me barre l’accès d’un groupe de trois caravanes harmonieusement disposées sous les frondaisons. Alors que je m’en vais faire demi-tour, un léger froissement de feuilles mortes m’incite à me retourner. Un énorme chien au pelage noir et blanc me contemple avec bonhommie au-delà de la barrière. À quelques mètres derrière lui, une grosse femme au visage poupin, boudinée dans un ensemble de coton noir, m’adresse un salut amical de la main. Alors que je m’arrête, le lourd portail pivote sous la pression de sa main et le grand chien s’approche de moi.
Je lève vers sa maîtresse un regard troublé lorsqu’il commence à flairer de façon insistante les parties les plus intimes de mon anatomie. Il lèche mon cul délicatement puis, progressivement, avec une de plus en plus force, au point que la couture de mon jean pénètre entre mes fesses. Il soumet ensuite ma braguette au même traitement et, sous la caresse, mon sexe se dresse visiblement. Sa maitresse sourit de mon embarras. J’essaie de le repousser sans autre résultat qu’un grognement peu amène. Il enserre ma cuisse entre ses pattes avant et commence à se branler sur ma jambe. Son sexe rose vif frotte en cadence la couture de mon ...
... pantalon. Curieusement, je me sens à la fois gêné de m’offrir ainsi en spectacle et excité par son désir. Elle susurre : « laisse-toi faire ». De sa force herculéenne, la bête porte tout son poids sur la pliure du genou et me fait tomber à terre les mains en avant. Un peu étourdi par le choc, je me laisse besogner plus avant. Sa truffe s’engage allégrement dans ma braguette au point de finir de la dégrafer. Entre ses crocs puissants, il saisit le pantalon par la ceinture déboutonnée et le baisse violemment sur mes cuisses, puis mes chevilles dénudant ainsi toute mon intimité. Après m’avoir remonté mon T-shirt sous les aisselles, il s’affaire à lécher avec application toute ma peau disponible. Aucun endroit découvert n’est épargné. Outre mes fesses et mon bas ventre, il s’attarde sur mon visage. Sa longue langue humide finit par forcer le passage de mes lèvres et envahit sans ménagement ma bouche. Lorsqu’il en sort, j’embrasse sa truffe fraiche et l’ourlet de ses babines, comme si je voulais stimuler son désir. Je ressens autant de crainte que d’excitation. La grosse dame s’est assise par terre à côté de nous et profère ce qui me semble être de rassurants encouragements. Au bout d’un moment, le molosse concentre son activité sur mon anus qu’il détrempe à l’extrême. Petit à petit, sa langue me pénètre et m’enflamme. Je sens la douceur d’une paume humaine qui effleure doucement mon phallus érigé.
C’est presque avec soulagement que je reçois le poids du chien sur mon dos. Il ...