1. Laurent & Sophie à la plage (4)


    Datte: 08/12/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... accoutrement. Nous avancions sur un sentier couvert de petits cailloux, puis sur une partie goudronnée. Une construction en dur nous accueillit ; porte, carrelage, bruits multiples, fraîcheur et puis tout de suite après une chaleur humide me firent penser à un climat équatorial. Des bruissements par milliers arrivaient à mes oreilles. C’était un enfer de deviner les choses sans pouvoir les regarder.
    
    Personne ne parlait et ça augmentait mon angoisse, même Madame ne cherchait pas à me rassurer. J’étais en attente, immobile depuis un moment et j’entendais que mes maîtres devaient être en train de s’habiller, je ne comprenais plus rien.
    
    Je pensais à Laurent. Où était-il ?
    
    Il se passa de longs moments avant que l’on m’empoigne à bras le corps. Je quittais terre, plusieurs bras me portaient, une porte s’ouvrit et le bruit devint plus audible, l’air plus humide et chaud. Des rayonnements de lumière passaient au travers du bandeau sans que je puisse voir quoi que ce soit. Je me croyais dans une ruche, des croassements, des chants de cigales, enfin je ne savais plus ! On me déposa sur une table, ou quelque chose de plat et mes bras touchèrent un rebord. Le fond était chaud et humide comme un feutre, une couverture mince. Mes pieds de chienne, mes oreilles, même ma queue furent ôtés. Pour le coup j’étais on ne peut plus nue. Le bruit était obsédant, je sentais des vies à proximité, sans pouvoir leurs donner des noms.
    
    — Voilà, tout est en place, on va pouvoir ...
    ... commencer.
    
    C’était la voix de Rachid, je la reconnaissais, il devait être agent de sécurité ici aussi ! Peut-être Laurent était–il là également ? Je tendais l’oreille, mais je ne reconnaissais que Madame et Monsieur en plus de Rachid.
    
    Je sentais des mains m’attacher les poignets avec une corde en tirant mes bras au-dessus de ma tête et les attacher derrière moi, sûrement au montant de l’espace dans lequel je me trouvais. Mes chevilles subirent le même sort, mais tirées chacune de leur côté et relevées, mes pieds bien à plat, ce qui de fait, me faisais écarter les cuisses au maximum. Ma chatte devait être le centre des regards, je sentais l’air entre mes lèvres et une légère humidité filtrer. Elle était parfaitement écarquillée ! Ainsi présentée, je pouvais être la proie de n’importe qui et de n’importe quoi. Un bâillon vint m’empêcher de parler (d’aboyer !). Avaient-ils peur que je les questionne ? Je ne tardais pas à le savoir, enfin, plutôt à le sentir. Des petites choses se déversèrent sur moi et coururent sur mon ventre, mes seins, ma figure...
    
    Tout mon corps se couvrait d’insectes ! J’en avais partout, ils s’infiltraient à chaque recoin de ma peau, de mes oreilles, dans ma chatte, dans mon trou du cul. Partout ! Heureusement mes yeux étaient fermés et ma bouche bâillonnée. De fait, je criais, mais nul son ne sortait d’entre mes lèvres.
    
    Je me voyais dévorée par des mandibules énormes. Le film Alien, me revenait à la mémoire. J’avais beau gesticuler, rien y faisait, j’étais ...
«12...8910...13»