Laurent & Sophie à la plage (4) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (4)

... tombais comme un bloc avec dans la bouche et sur mon visage, le goût et l’odeur de cette chatte martiniquaise.

Ma nuit fut agitée et Madame me réveilla pour le déjeuner. J’avais dormi jusqu’à 11heures. Elle me doucha et m’annonça une promenade au bois après le repas. Elle inspecta mon trou du cul et décida d’y mettre une bonne couche de crème apaisante, je ne savais pas où ils achetaient cette préparation, mais elle était diablement efficace. Une simple étiquette sur le pot avec une écriture à la main me laissa à penser qu’il s’agissait d’un produit qui n’était probablement pas répertorié par la sécurité sociale. Le déjeuner était frugal et je supportais les regards transperçant d’Anicette. Elle me faisait des gestes obscènes dès que Madame avait le dos tourné. Je ne savais que penser. Avait-elle la permission de me traiter comme elle l’avait fait hier soir ou outrepassait-elle ses droits ? Je ne me risquais pas à en parler à Madame.

Anicette me fit monter et me mettre à genoux sur la table basse du salon pour m’équiper de mes oreilles, pattes, genouillères et de ma queue qu’elle s’évertua à faire tourner dans mon anus devant Monsieur qui n’en perdait pas une miette. Elle allait jusqu’à en peigner les poils. Madame vérifia elle-même l’insertion de mon plug par sécurité.

— Il ne faut pas que tu perdes ta queue, ma chienne à moi !

Des recommandations sur le menu du soir, me faisaient penser qu’il y aurait sûrement des invités, mais tous faisaient attention que ...

... je ne sache pas trop ce qui se préparait.

Monsieur avait un sac à dos bien rempli et nous partîmes dans sa superbe voiture, à croire qu’une bande de lutins la lavait chaque nuit. Je m’installais sur la moquette devant le siège de Madame qui me caressa durant tout le voyage.

Arrivé où Monsieur se stationnait, je reconnus l’endroit où quelques jours plutôt nous venions de la maison des gardes forestiers.

Monsieur sortit des affaires de son sac à dos pendant que Madame me faisait faire un petit pipi sur l’herbe. Je n’avais pas terminée quand je reçus sur les yeux un bandeau qui me plongea dans le noir complet. Je ne comprenais pas. Est-ce qu’ils n’avaient pas confiance en moi, ou était-ce parce qu’ils voulaient me faire une surprise ? J’entendis un bruit de moteur, je pensais à celui que faisait le quad que j’avais emprunté sur ce parking. On m’y fit monter, non pas comme je l’imaginais sur le quad. Mais je pensais à une carriole tractée par l’engin. Madame me tenait par la laisse et je m’agrippais à elle pour ne pas tomber, bien que je fusse à quatre pattes et assez stable.

Nous parcourûmes une bonne distance et je faisais des efforts pour ne pas me perturber. Tellement de pensées envahissaient mon esprit que je ne savais à quel saint me vouer. Le moteur fut coupé et le bruit assourdissant augmenté par mon aveuglement cessa. Madame et une autre paire de mains m’aidaient à descendre de la remorque. Je me retrouvais une nouvelle fois sur le sol. Madame vérifia mon ...