1. Laurent & Sophie à la plage (4)


    Datte: 08/12/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... envahie de toutes parts. Le trio présent riait beaucoup, une main écartait les lèvres de ma chatte et je sentais des insectes y pénétrer rapidement ; je bougeais le bassin. Des mains m’immobilisèrent pour faciliter l’ascension des bestioles dans mon sexe, j’étais survoltée et je pleurais à chaudes larmes. Rien ne les arrêtaient, ni mon désarroi, ni les sons qui arrivaient à passer la barrière du tissu qui m’obstruait la bouche.
    
    Mon calvaire dura de longues minutes et d’un coup je fus inondée d’une lumière aveuglante. Je me trouvais dans une espèce de serre, placée dans une civière en plexiglas à hauteur de taille et le trio habillé de combinaisons hermétiques était de chaque côté, les mains affairées à faire entrer le plus d’insectes en moi et les remettre sur moi quand ils étaient sur le côté de la civière. Mes yeux ne me trahissaient pas, c’était immonde ! Madame me calma et m’embrassa le front pour que je m’apaise. La possibilité de voir ce qui m’entourait me calma et j’arrivai à prendre sur moi.
    
    — Elle a des pupuces qui la grattouillent, ma Clitorine. Ho les vilaines bébêtes ! je riais d’entendre Madame et ça me réconforta. Le dégoût passé, je trouvais l’idée amusante, mais je me demandais comment arrêter les différents insectes qui montaient dans ma chatte par le chemin que Rachid avait grand ouvert, éclairée par une lumière blanche comme pour mieux montrer l’entrée de la grotte aux Aliens.
    
    Une idée de génie et la peur aidant, je lâchais les vannes de ma ...
    ... vessie et inondais la civière, expulsant les indésirables. Je baignais dans ma pisse, mais je me sentais soulagée.Ça me valut des claques sur la figure et sur ma fente grande ouverte. Mon clitoris en prenait pour son grade. Le jeu se calma, je fus déliée et libérée de mon bâillon.
    
    J’aboyais deux fois à plusieurs reprises pour montrer ma désapprobation.
    
    Pour toute réponse j’eus droit au jet d’eau. La civière avait une bonde et l’eau s’écoula emportant avec elle, des milliers d’insectes. On me sortit de la position couchée pour mieux me passer au jet, introduit au plus profond de mon vagin. Le tuyau nettoyait en profondeur. Je descendis sur le sol, j’eus droit de rester debout. Madame cherchait les dernières bêtes qui auraient résisté à la douche puissante. Les plaisanteries allaient bon train et je dus les suivre dans une autre serre.
    
    On sortit à l’extérieur et nous fîmes quelques dizaines de mètres pour rejoindre un autre endroit avec un toit plus haut. Le trio, toujours vêtu comme des cosmonautes, et moi toute nue, devions faire un drôle de cortège.
    
    Je passais un sas et Rachid m’enduisit les seins et la chatte de miel. Monsieur et Madame me tenaient, mais je ne faisais rien pour me débattre. J’avais accepté mon sort depuis longtemps, mais Rachid m’immobilisa en me liant sur une table avec les jambes en l’air et la tête pendante dans le vide. C’était très inconfortable et inutile.
    
    Je compris que j’allais avoir affaire à des insectes volants, et espérais que je ne ...
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