1. Laurent & Sophie à la plage (4)


    Datte: 08/12/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... tout le mur du fond et un grand bac avec de la sciure pour faire mes besoins, m’expliqua Anicette.
    
    Je me disais que c’était me mettre à l’écart et je le fis savoir par des duos d’aboiements négatifs, ce qui me valut du martinet entre les cuisses donné par Anicette qui se trouvait derrière moi. Les lanières remontaient dans le pli de ma chatte et terminaient leur course sur mon clitoris. Je me réfugiais entre les jambes de Madame, qui me caressa la tête automatiquement. C’était devenu un reflex chez elle.
    
    — Clitorine tu dois obéir à Anicette, tu le sais ! Allez va sagement t’allonger sur le cheval et fais-lui un gros câlin !
    
    Je ne comprenais pas bien où elle voulait en venir. Au bruit du martinet et de mes gémissements, Monsieur était dans l’embrasure de la porte pour voir ce qui se passait. Anicette me mena de force sur le cheval d’arçon et me fit m’y coucher. Mon derrière était ainsi relevé et mes cuisses largement écartées, ce qui semblait plaire à mes trois tourmenteurs qui avaient une vue dégagée sur mon vagin. Je dus mimer le mouvement de l’amour. Je faisais aller mes reins et donnais des coups de ventre sur le cuir de l’appareil. Anicette appuya sur mon dos pour que mes seins touchent également le cheval. Le martinet avait changé de main et Monsieur visait juste où c’était le plus sensible ; mon dos avait droit à une volée de coups. Madame s’y essaya aussi : c’est mes fesses qui avaient sa préférence. J’étais essoufflée par le rythme et la violence des coups et ...
    ... m’affalais complètement sur le cheval d’arçon. Monsieur et Madame partirent se coucher et je crus enfin pouvoir dormir.
    
    C’était sans compter avec Anicette qui prit mon collier d’une main et souleva son vaste tablier de l’autre.
    
    Stupéfaction ! Elle n’avait pas de sous-vêtements et j’avais une vue rapprochée de ses lèvres pendantes, qui ressemblaient à deux crêtes de coq violacées. J’avais une espèce de haut-le-cœur ; la main de la servante poussa mon crâne contre son sexe énorme et trempé. Je ne croyais pas qu’une femme de son âge pouvait avoir de telles envies.
    
    — Suce salope et lèche bien tout au fond, j’adore que l’on mordille mes lèvres. Ne me déçois pas ou tu passes la nuit dehors te faire sauter par le chien du voisin !.
    
    Avec de tels arguments, je n’avais pas trop le choix !
    
    Malgré ma répulsion je gobais chaque lèvre, les mordillais et les avalaient presque, tellement elles étaient longues. Une atrocité de l’évolution sûrement ! Je n’avais jamais vu de sexe féminin noir. L’intérieur était rouge sang.
    
    J’aspirais son jus comme elle me le demandait ; le goût était âpre et salé en même temps. Je lui suçotais le clitoris et électrisée, elle lâcha son jus dans ma bouche. Impossible de décoller ma tête et elle me força à tout prendre. Elle n’en finissait pas de jouir et je devais lécher son vagin pour qu’elle soit propre ; ma langue lui servait de gant de toilette. J’étais une épave et elle m’autorisa à rentrer dans ma niche où un épais coussin m’attendait. Je ...
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