Laurent & Sophie à la plage (4) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (4)

... clients applaudissaient et Madame dans son délire, me faisait donner la papatte, tirer la langue, lever la cuisse pour faire pipi. Tout le monde se régalait.

J’avais chaud à l’intérieur du déguisement, j’avais du mal à voir ce qui se passait : deux trous faisaient office d’ouverture pour les yeux, mais ne me permettaient pas d’y voir grand-chose. Je vagabondais dans le magasin menée par Madame qui prolongeait ce moment de folie.

Les clients partirent et Monsieur entreprit de me libérer de ma seconde peau, à un détail près, c’est qu’il le fit devant la cabine d’essayage et non à l’intérieur. La femme qui était restée pour me voir et qui riait encore des blagues de Madame, était ravie de mater une jeune fille, visiblement sous l’emprise d’un couple, laissant faire quoi qu’on lui demandât d’exécuter.

Madame, très en verve, ne pouvait s’empêcher de faire les honneurs de mon corps. En fait elle était fière de son dalmatien, je devrais dire plutôt dalmatienne. Je me retrouvais entièrement nue dans le magasin et une fois encore je dus me mettre au sol dans les positions canines préférées de Madame qui exposait mes parties intimes à cette femme qui finit même par me toucher. -« Elle mouille énormément. C’est incroyable ! elle a vraiment du plaisir à être traitée comme vous le faites. »

Oui Madame ! j’avais un plaisir fou à être maltraitée, ou mieux à être traitée comme ce que j’étais : une chienne. La situation me plaisait et j’en faisais des tonnes, l’orgasme me guettait ...

... et la femme très habilement avait saisi mon clitoris et le massait entre deux doigts. Il ne me fallut pas longtemps de ce traitement pour rentrer en transe. Là encore, Monsieur échangea les numéros de téléphone.

Madame me rhabilla avec mon paréo et la femme explosa à la vue de ma queue introduite par Monsieur dans mon anus écartelé pour cela. En regagnant la caisse, Madame s’intéressa aux concours de beauté canine, prit des adresses : psychologue pour chien, chenil, garde pour les vacances d’animaux domestiques etc. etc. Je pensais en mon for intérieur : encore heureux que les combats de chiens n’existassent plus en France.

Elle devait lire dans mes pensées, car à peine avais-je eu cette idée, qu’elle proposait :

— Et un combat de chiens ?

J’étais fatiguée et m’endormis sur le cuir de la banquette, le ronronnement de la voiture participant à mon bien-être. Arrivée à la maison je dus une nouvelle fois faire la démonstration, pour Anicette, de l’élégance de mon costume. Il fut décidé à l’unanimité que je devais garder les pattes de dalmatienne à la place des gants pour marcher. J’étais donc pourvue d’oreilles, d’une queue et de pattes de chien, le cas échéant d’un costume complet.

Je dormais dans la chambre de Monsieur et Madame, au pied du lit et parfois dans le lit, suivant leurs désirs. Cette soirée était à marquer d’une pierre blanche, car j’eus droit à une chambre, enfin, une pièce avec une niche et une espèce de cheval d’arçon bas, une armoire qui couvrait ...