Laurent & Sophie à la plage (4)
Datte: 08/12/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... également, ce qui me réjouissait, car depuis quelques jours, on s’occupait beaucoup de mon corps, mais j’avais peu de douceur et de baisers.
Les choses sérieuses s’enchaînèrent rapidement et ils me baisèrent chacun leur tour. Mon anus ne resta pas inoccupé : j’eus droit à une double enculade. Je fis des fellations la tête sous l’eau mais je devais remonter à la surface pour reprendre de l’air et sucer les deux grosses queues qui se s’offraient à moi.
Je me fatiguais assez vite et je n’étais plus qu’un morceau de chair entre ces deux hommes. Ils finirent par lâcher leur sperme tous les deux dans ma bouche.
J’eus du mal à retrouver mon paréo qui s’était défait de ma taille dans les échanges avec eux. Nous remontâmes sur la plage. Le tissu trempé autour de ma moi ne cachait rien de ma fente de fille et les personnes qui m’avaient matée pour ma descente, avaient bien compris que je venais de me faire baiser par les deux hommes. Je baissais la tête, observée par des dizaines d’yeux et je remontai rejoindre Madame et Monsieur.
Monsieur échangea les numéros de téléphone pour une rencontre ultérieure et ils partirent non sans avoir déposé un baiser sur mon front.
Nous restions sur la plage pour que je puisse bronzer. Madame me passait de la crème solaire sur tout le corps, ce qui n’échappait pas aux vacanciers alentours. Elle prenait un malin plaisir à m’exposer et à m’exhiber, ce qui n’était pas pour me déplaire, car je trouvais en moi une grande joie à pouvoir ...
... montrer mon corps dans toutes les positions possibles et inimaginables. La honte devenait pour moi une vraie jouissance. Sans même que l’on me touche, je prenais du plaisir à être exhibée ainsi, une véritable satisfaction. Les oreilles et la queue me donnaient une authenticité de chienne et Madame appréciait de caresser ma queue poilue.
Au retour de la plage Monsieur stoppa dans la zone commerciale et nous allâmes dans un grand magasin de «farces et attrapes.» Pour tout vêtements je n’avais que mon paréo, mes oreilles, mon collier de cuir, ma queue et mes tongs. Madame cachait le plus possible ma chatte en croisant les deux pans du paréo, mais sans trop de réussite. En effet, à chaque pas, ils s’ouvraient, laissant apparaître mes seins et ma fente. Tout compte fait j’étais plus nue avec le paréo que sans et les quelques clients du magasin s’en apercevaient bien vite.
Je cherchais la raison de notre présence dans cet endroit, sans trouver de réponse. La solution finit par me sauter aux yeux quand je vis les déguisements d’animaux.
Madame choisit bien évidement celui d’un chien de bonne taille : c’était décidé je serai, je «SUIS », un dalmatien blanc avec des taches noires. Je le je trouvai d’une certaine élégance quand je me vis dans la glace à quatre pattes, pour faire pour de vrai, comme Madame disait, argumentant devant les clients qui assistaient à mon numéro.
— Très bien pour la soirée déguisée ! Aboie maintenant, pour voir ce que ça donne.
— Wouaf, wouaf.
Les ...