Laurent & Sophie à la plage (4) - Histoires de Sexe

Laurent & Sophie à la plage (4)

... serais pas piquée. Je ne me trompais pas : nul insecte piquant ! Des mouches, des coléoptères, des papillons, des libellules, quelques sauterelles et mêmes des coccinelles, formaient les assaillants qui se posaient sur moi. Des petits fourmillements sur mes parties intimes m’excitaient au plus haut point. Mes tétines étaient butinées et ça me faisant bander très fort, j’avais l’impression d’avoir une montée de lait. Ils se focalisaient sur les touches de miel au début, mais très vite débordaient pour envahir toutes les parties de mon corps. Rachid faisait des photos, il avait dû se régaler avec les premiers insectes également. Je ne savais pas ce qu’il pouvait en faire, mais des amateurs allaient apprécier.

Monsieur déposa une poignée de lombric sur mon ventre, il devait penser que, comme beaucoup de femme, j’avais peur des serpents et que je sursauterais. Mais j’aime bien les reptiles et je ne manifestais pas d’hostilité, ce qui le dépita au plus haut point. Je riais dans mon for intérieur. Sa vengeance fut mesquine : il m’enfila les vers de terre dans la chatte. Rachid était ravi de l’initiative et prenait photo sur photo. Je sentais les lombrics glisser en moi, un peu flippant, mais pas désagréable.

Madame faisait la grimace.

Tout en supportant tout cela, je réfléchissais et me disais que l’on devait être dans un endroit où on élevait des insectes pour les Asiatiques qui, parait-il, en consomment des tonnes. Rachid avait attrapé une sauterelle et avait décidé de ...

... me la faire manger. Je serais tellement les dents qu’il termina par l’écraser contre ma bouche. C’était la seule tentative et je me réjouis de cette petite victoire. Ils s’amusèrent un moment mais faute de miel, mon corps était devenu moins intéressant pour les bestioles. Je fus une nouvelle fois défaite de mes liens. Dans le sas, le trio enleva ses tenues de protection, j’en déduisis, un peu hâtivement, que la visite était terminée.

Il restait un autre endroit que l’on n’avait pas encore visité : le pavillon des batraciens.

Madame avait repris la laisse et je sentais de l’électricité dans l’air. Les deux hommes devaient être très excités et leurs gestes les trahissaient. Je reçus des coups cinglants, notamment sur les seins et plus particulièrement des pichenettes sur mes tétines, des pincements sur ma peau. Une badine avait fait son apparition et mon entrejambe était visité par derrière ce qui me forçait à marcher les jambes écartées et les faisait rire. Mon clitoris n’était pas à la fête et supportait le cisaillement du morceau de bois affûté.

Les croassements près de la marre nous indiquèrent que l’on était arrivés. L’intérieur était sombre et sentait mauvais, j’étais prête à de nouvelles expériences et ne bronchais pas.

Rachid devait avoir un intérêt à me voir attachée, car il remettait ça et me lia au poteau, bras en croix tirés vers le haut et jambes dans la même direction que les bras. Une crucifixion ! Je devais ressembler à un X.

Monsieur avait bien ...