Synéisaktisme à Montsoreau
Datte: 03/12/2020,
Catégories:
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Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... ses petits tétons, descends ma main droite sur son ventre, puis plus bas. Il bande toujours ferme, l’animal ! Je repousse la couette. Un baiser sur ses lèvres souriantes. Il ne les entrouvre pas mais il reste couché sur le dos. S’il se retournait, je ne sais pas ce que je ferais ; je crois que je ne lui parlerais plus jamais de toute ma vie.
Me voici maintenant au-dessus de lui, prête à m’empaler. Il a les yeux fermés mais il sourit encore. Eh bien non, je ne vais pas prendre mon plaisir sur un mec qui joue au baigneur gonflable ; j’abandonne. Mais alors que je commence à m’en aller, ses deux mains étreignent mes épaules, puis mes fesses. Il me retourne sans aucun ménagement et il est en moi aussitôt pour de farouches va-et-vient. Enfin, enfin !
Un peu de sommeil, et on remet ça au petit matin, sans synéisaktisme hypocrite. Ne serait-ce pas un pléonasme, au fait ?
Voilà. La journée de dimanche ? Le matin, courte randonnée de Montsoreau à Candes-St-Martin par le GR 3, qui chemine parmi les vignobles du Saumur-Champigny. Visite de la collégiale. Par le petit chemin qui se détache à droite de l’église, comme l’écrit le guide vert, nous montons regarder le panorama. En bas, la Vienne se jette dans la Loire comme certaines filles au cou de certains ...
... garçons.
Ah ! J’oubliais. Il y a des confessionnaux dans la collégiale. Ça me rappelle quelque chose, mais nous ne sommes pas seuls. Il m’est donc impossible de chuchoter des insanités et d’être ensuite condamnée au martinet ou aux pinces à linge sur les tétons. Il ne semble pas, au demeurant, qu’Antoine et Chloé pratiquent ce genre d’activité. Nous vous les présenterons un jour, vous leur apprendrez.
L’après-midi, courte randonnée dans un bois situé à l’est de Fontevraud, que la carte de IGN nomme pompeusementGrande forêt. D’abord un sentier qui monte, puis on retrouve le GR3 au lieu-dit Croix St-Martin. Quelques marcheurs, alors, qui nous saluent plus que gentiment. Il faut dire que nous avons des chaussures, bien sûr, mais rien d’autre sur la peau que nos tee-shirts Montsoreau. Jupes et pantalons sont dans un sac à dos que porte Antoine, car il faut bien, hélas, se remettre en tenue décente juste avant d’arriver à Fontevraud.
Retour à la maison de la rue de l’Église. Une heure devant nous avant que la propriétaire vienne récupérer ses clés. Alors Chloé et moi, nues côte à côte, et les garçons qui passent de l’une à l’autre, de l’autre à l’une…
— Fermez les yeux, les filles, et devinez !
Bisous, Sophie. Embrasse Olivier pour moi.
Laura