1. Synéisaktisme à Montsoreau


    Datte: 03/12/2020, Catégories: fh, 2couples, couplus, piscine, forêt, voyage, pénétratio, lettre, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... de ce garçon, qui cette fois se laisse faire, Chloé nous crie de là-haut que la salle de bain est libre.
    
    — Et passez une bonne nuit de synéisaktisme, ajoute-t-elle en riant.
    
    C’est donc à nous d’aller dans la salle de bain. Du couloir, la porte de leur chambre étant ouverte, nous les voyons allongés côte à côte. Sagement ? Leurs mains sont sous la couette… Antoine est très vite nu, et moi aussi ; se débarrasser d’un tee-shirt ne prend pas beaucoup de temps. La cabine de douche est petite, nous sommes l’un tout contre l’autre. Antoine prend la savonnette et la passe sur mes seins, mon ventre, mes cuisses, mes fesses. Il frôle ma chatte, l’entrouvre de son index, titille mon clito, me sourit et me donne la savonnette.
    
    — À toi, Laura.
    
    À mon tour de caresser sa poitrine, ses cuisses, son ventre, ses bourses si douces que je prends en main avec délicatesse. Puis, à genoux, je caresse sa verge déjà très grosse et très dure. Après l’avoir rincée, j’y porte les lèvres. Il me laisse faire. Quelques instants plus tard, il me relève.
    
    — Synéisaktisme, Laura !
    
    Il s’empare du pommeau de douche et rince nos deux corps. Puis c’est lui qui est à genoux, et sa langue commence à faire merveille. Pendant trop peu de temps, hélas ! Nous sortons de la cabine ; il prend une serviette de toilette, m’essuie partout. Je fais de même pour lui. Nous allons dans notre chambre. Un lampadaire y restera allumé. Nous nous couchons. Antoine me tourne le dos.
    
    — Bonne nuit, Laura, et sois ...
    ... sage !
    
    À quoi joue-t-il ? Je me colle contre lui, le bas-ventre contre ses fesses. Mes mains caressent sa poitrine puis descendent s’emparer de la douce mais toujours bien raide colonne de chair frémissante. Cette chair qu’il faudrait mortifier ! Il ne bouge pas. Va-t-il se laisser branler et me laisser en plan ? Je lâche sa verge, m’éloigne de lui et, à mon tour, lui tourne le dos.
    
    Rien. Il ne fait rien. Il rit en silence. Je le sens frémir, puis sa respiration devient plus lente : il dort. Il dort, à côté de moi qui me livre à lui et il me refuse ? J’en pleurerais de rage ! On peut passer très vite de l’amour à la haine… Je le déteste ! S’il veut me toucher maintenant, je refuse, je crie.
    
    Je ressasse mon humiliation, envisage de me lever. Mais Alex est avec Chloé ; je suis sûre qu’ils font l’amour, eux : je reconnais les grognements d’Alex. Eh bien, je vais me débrouiller toute seule. Mon majeur sur mon clito, mon pied gauche contre la cheville d’Antoine parce que j’ai écarté les jambes, je me caresse et je vais bien y arriver, à jouir !
    
    Non, ce serait quand même tellement dommage… Il y a autre chose à faire. Ce type qui joue au mâle indifférent, il faudra bien qu’il y passe, à la casserole comme ils disent tous, les mecs, en parlant de nous, les filles. De la main droite je frôle ses fesses. Il ne bouge pas. Un suçon dans son cou et le voilà maintenant allongé sur le dos. Sa respiration est calme et profonde. S’il ne dort pas, il fait bien semblant. Je caresse ...