1. Monsieur Ekkudu


    Datte: 02/12/2020, Catégories: f, fh, fhh, grp, extracon, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe Humour Auteur: Luc Leen, Source: Revebebe

    ... qui équipaient une des parois de la cabine, je me suis assis sur un tabouret, seul meuble disponible à cet endroit, et j’ai attendu.
    
    Je ne pouvais me prétendre parfaitement à l’aise ni détendu mais, les fesses reposant les jambes, j’évitais au moins de me fatiguer inutilement. J’ai regardé la trotteuse de ma montre sautiller d’une seconde à l’autre, et lorsqu’elle eut accompli près de dix tours complets du cadran, je me suis dit que je commençais à trouver le temps long.
    
    Pointant de nouveau le nez dans l’entrebâillement de la porte, j’ai risqué un :
    
    — Y a quelqu’un ?
    
    J’ai même répété deux fois la question, de plus en plus fort, mais manifestement il n’y avait personne. Ou alors quelque être atteint de surdité ou désireux de se murer dans un mutisme têtu.
    
    J’ai tambouriné sur l’autre battant d’un index replié, mais aucune réaction de ce côté-là non plus.
    
    — Bon, ben… allons-y ! ai-je soupiré.
    
    Je me suis glissé dans le sombre couloir que j’ai parcouru sur quelques mètres jusqu’à rencontrer un mur, flanqué à angle droit d’un escalier descendant au bas duquel j’apercevais de la lumière.
    
    — Quelqu’un ?
    
    Comme je n’obtenais pas davantage de réponse que précédemment, j’ai descendu lentement les marches, vers la lumière. Celle-ci provenait d’un autre couloir, faiblement éclairé par quelques timides ampoules à incandescence. Des sons étranges me parvinrent alors, sorte de succession de murmures et de soupirs, et je me suis avancé de quelques pas vers une porte à ...
    ... demi ouverte. Aussitôt, je me suis rejeté vers l’arrière, le souffle court, le temps de me remettre de ma surprise, puis j’ai risqué un regard discret – mais néanmoins indiscret – dans la pièce vivement éclairée qui s’ouvrait là.
    
    Allongée sur le lit sous une lumière crue, nue à l’exception d’une petite culotte d’un blanc brillant, la demoiselle africaine qui m’avait accueilli quelques minutes plus tôt était occupée à se masturber langoureusement. D’une main elle se caressait les seins, les pétrissait, en pinçait les mamelons ; tandis que l’autre s’activait sous l’étoffe soyeuse de la culotte. Je distinguais nettement les mouvements des doigts qui titillaient le clitoris, se promenaient le long de la fente en faisant de courtes apparitions entre les interminables cuisses largement écartées et l’élastique du sous-vêtement, puis s’engloutissaient par paire dans le sexe offert.
    
    La belle agitait la tête, arquait le corps, soulevant le bassin dans un mouvement ondulatoire qui accompagnait les caresses. De sa bouche de laquelle passait de temps à autre une langue gourmande qu’elle promenait sur ses lèvres jaillissaient soupirs et gémissements dans un langage universel intraduisible sans trahir la bonne orthographe française. Je restai immobile à regarder et écouter, probablement très peu visible dans ce couloir mal éclairé par rapport à la chambre de la demoiselle. Elle semblait de toute façon bien trop absorbée par son activité pour se préoccuper de ma présence !
    
    Poussant ...
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