1. Monsieur Ekkudu


    Datte: 02/12/2020, Catégories: f, fh, fhh, grp, extracon, inconnu, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, hsodo, Partouze / Groupe Humour Auteur: Luc Leen, Source: Revebebe

    ... de petits gémissements impatients attestant de son haut degré d’excitation, l’Africaine s’était débarrassée de son slip et avait repris ses caresses lascives. Ses mains s’activaient sur sa peau sombre et sa fente rosée tandis que, pieds à plat sur le lit, elle soulevait le bas du corps, m’offrant le spectacle de son sexe béant dans lequel elle a fini par introduire plusieurs doigts. Pour faire bonne mesure, elle s’est échauffée en même temps le majeur de l’autre main en se l’enfonçant dans la rondelle et en jappant comme le Yorkshire de mes voisins.
    
    J’ai hésité sur l’opportunité de l’interrompre pour savoir quelle thérapie, visite ou consultation était prévue pour ma personne – j’avais rendez-vous, je le rappelle, mais sans doute pas avec elle. Le mieux était de me mettre à la recherche du Grand Marabout. Il devait bien être quelque part, ce spécialiste guérisseur…
    
    D’un mouvement aussi subtil que le permettaient mes cent kilos, j’ai dépassé la porte du chenil et longé lentement et silencieusement le couloir. Peut-être mon attitude vous paraîtra-t-elle surprenante, mais je n’étais pas porté sur le voyeurisme. Il y avait d’ailleurs belle lurette que les films de cul ne m’excitaient plus !
    
    Parvenu à un nouvel angle, je n’ai eu que le temps de me rejeter en arrière, une fois de plus, en espérant ne pas avoir été aperçu ! Une petite volée d’escaliers s’amorçait là qui conduisait à une vaste pièce située en contrebas. Comme précédemment, j’ai repris mon souffle, puis ...
    ... risqué un regard. « Tudieu ! » ai-je pensé. « Le sous-sol de cette bicoque est un véritable baisodrome ! »
    
    J’ai regardé pendant quelques secondes les gens vautrés sur des couchettes et dans des fauteuils. La plupart étaient dans des tenues vestimentaires vachement dépouillées pour la saison, mais je dois reconnaître que le sous-sol était généreusement chauffé.
    
    J’ai perçu les soupirs, les gémissements, les grognements émis par tous ces gens qui avaient l’air de prendre du bon temps. Dans quel lieu de débauche m’avait-on convoqué ? Moi qui pensais venir suivre une thérapie…
    
    Un gaillard bien bâti donnait sa langue à la chatte d’une brunette vautrée cuisses écartées sur une banquette et se pelotant les nichons pour participer activement à l’effort de communication. Elle semblait apprécier le traitement : elle se tortillait, soulevait le cul, ondulait en cadence en se mordillant les lèvres et en psalmodiant avec ferveur quelque prière amoureuse à l’adresse du plafond de la pièce.
    
    À proximité de ce couple, une blonde pulpeuse revêtue d’une jupette et d’un bustier roses prodiguait une fellation endiablée à un type à l’épiderme couleur d’ébène, nu comme un ver et membré comme un cheval.
    
    Un peu plus loin, une rouquine aux allures de gazelle était assise entre un homme pourvu, lui aussi, d’une queue de cheval (mais composée de longs cheveux attachés dans son cou à l’aide d’un élastique) et un mec musclé en diable, au crâne chauve et aux bras couverts de tatouages. Les deux ...
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