1. Un e pute à l étage


    Datte: 01/12/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... mi-sérieux que je jouais malhabilement et vraisemblablement agaçais certains voisins. Elle me dit d'un ton colère. « Ici il y a trop d'abrutis. » Je ne pus réprimer un éclat de rire. Son dépit était sincère et naïf. J’enchaînais : « Vous êtes au moins mon seul fan. Vous pourriez une fois venir m'écouter et me donner quelques conseils. » A son tour elle rit déclarant : « Je vous ai expliqué. Je suis nulle devenue. J'ai les doigts engourdis. J'ai perdu ma vie depuis à beaucoup de sottises. » Pour le coup je découvris que cette femme était tout de mystère. Je la désirais à un point insoutenable.
    
    Elle ne répondit pas à mon invitation de venir m'entendre au piano. Elle semblât me fuir telle une volage hirondelle. Le joli bruit de ses talons sur les pavés retentirent tel un adieu impertinent. Avais-je laissé passé ma chance et tout gâché ? Je la vis disparaître sous le porche. Un peu triste je choisis de jouer un prélude en mode mineur pour flatter mon sentiment. Je songeais à présent qu'elle vivait manifestement avec ce vieillard lugubre et dont je ne fus pas surpris qu'il fut un bandit ou escroc. Me rappelant ses insolites paroles, je me dis que cet homme terrible avait barre sur elle.
    
    Je l'imaginais désormais en princesse séquestrée. L'imagination romanesque fit le reste. Je rêvais désormais de la délivrer, de devenir son héros. Deux jours plus tard je croisais de nouveau mon portugais toujours revêche et hostile. Là il fut plus prolixe en la cage d'escalier. « Désolé de ...
    ... mon indiscrétion mais je vous ai vu parler l'autre jour avec la garce. Méfiez-vous ! » Il n'en dit davantage. Je l'aurais volontiers giflé pour ces mots insultants à l'égard de ma princesse. Il ne m'en avait pas moins intrigué. Qu'avait-il voulu dire ? Avait-elle un secret si lourd méritant d'être caché ?
    
    Un soir on frappa à la porte. J'avais renoncé à pianoter pour m'enfoncer dans un gros ouvrage : la biographie d'un tyran. C'était elle. Elle était belle, apprêtée, maquillée. « Elle bredouilla : « Je ne vous ai croisé depuis longtemps. J'aurais du vous prévenir. J'ai résolu de venir vous écouter. Serait-ce possible ce soir ? » Je dis oui. Je ne pouvais refuser. De toute façon le bouquin sur Trotski me tombait des mains. Elle sourit lorsqu'elle vit la couverture de celui-ci. Elle balança lapidaire : « Je hais les communistes. » Je répondis goguenard : « Vous avez raison. Je leur préfère le boche Bach. »
    
    Ce soir-là elle portait des bas chairs plutôt que noirs. Elle avait une jupe courte. Croisant sans vergogne ses cuisses elle ne répugnait pas à révéler son port de bas. On pouvait aisément voir et se délecter d 'une chair blanche affleurant à la naissance desdits bas. Je bandais. Il se pouvait qu'elle le devinât. Sûrement escomptait-elle un tel effet chez moi comme chez les autres mâles. Je me rappelais le propos sévère et rude du portugais : Une garce ! N'empêche elle était brune et délicieuse conférant du coup à ce hideux appartement la splendeur d'un palais. Je me mis ...
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