1. Un e pute à l étage


    Datte: 01/12/2020, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... accompagner sa rêverie. La fumée et l'obscurité du soir flouait son doux visage. On eût dit que fantôme elle pourrait disparaître à tout jamais et s'évanouir. Il me restait encore à la pouvoir retenir ici-bas et qu’elle ne s'enfuit pas définitivement au royaume des ombres. Tel Orphée pour Eurydice. Je ne la perdis pas pourtant. Peu après que j'eus éteint la dernière note et que je fermais les yeux après tant d'efforts soutenus, elle me prit la main et après que j'eus tourné la tête, m'embrassa. Cela fut comme naturel. J'étais aux mains d’un ange.
    
    Elle dut penser qu'elle ne pouvait me remercier autrement. Le reste s'ensuivit avec la même fluidité dans la pénombre. Elle me poussa doucement du piano, s’agenouilla devant moi. Je mis un temps à percevoir qu'elle avait ouvert ma braguette Qu’elle me suçait. Elle faisait cela avec dextérité et calme. Elle voulait peut-être me montrer qu'elle pouvait me surpasser aussi dans son art. Elle suçait en effet mieux que je ne pianotais. L'idée me vint que cela lui était sûrement familier et qu'elle ne prodiguait pas ce geste à son seul compagnon. Le mot de garce me revint. Je pensais aussitôt : pute.
    
    Elle se releva peu après et s'assit au bord du lit qui était peu loin. Elle avait sans doute eu celui-ci en vue dès le début. A mon tour je vins rampant jusqu'à ses genoux. Me devinant elle me tendit alors son pied au bout duquel chancelait un escarpin. Je pris dans ma main l'objet mutin la déchaussant dudit soulier. J'adorais depuis ...
    ... toujours en incurable fétichiste caresser tout pied nylonné. Cela me procurait de cruelles érections. Bientôt léchais-je ce pied souple et nerveux. Il me repoussait des fois et se jouait de mon désir intense. Il s'enquit bientôt à caresser et branler ma bite tendue.
    
    Elle se renversa tout d'un coup sur le dos écartant ostensiblement ses cuisses. J'entrevis dans la pénombre sa culotte relativement transparente qu’elle écarta du coup avec un doigt. Je compris que je devais la lécher. Je m'enquis avec sérieux et dévotion de ma mission. Elle jouit semblant ne point feindre. Depuis longtemps je n'avais goûté un pareil fruit. Je bénissais les mânes de Bach et de Chopin qui m'avait amené dans ce lit cette sublime créature. Je fus sur elle peu après la pénétrant la besognant collant ma bouche contre la sienne. Elle concéda que je l’embrassas plus avant.
    
    Eurydice ne tint pas à s'enfuir de suite et à couper mon élan. Elle prit son temps. Nous baisâmes durant une heure. Je me dis que décidément son mari n'existait pas. J'eus l'idée désagréable qu'il savait peut-être et qu'elle avait sa bénédiction. Elle était venue en pute ici et sans vergogne. Cela me mit en colère sur la fin. Je fus brutal et l'enculais sans autre forme de procès. Elle semblât ne guère s'émouvoir encaissant stoïquement chacun des coups de boutoir dans son cul. Elle soutint ainsi l'effort. Enfin j’éjaculais. Peu de femmes m'avait concédé un tel plaisir. J'étais impressionné.
    
    Elle se releva et réajusta sa jupe, ...
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