1. Un drôle d'endroit pour une rencontre


    Datte: 29/11/2020, Catégories: ff, fplusag, jeunes, toilettes, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral confession, bourge, Auteur: Anophèle, Source: Revebebe

    ... maintiennent ouvert au format grand-angle pendant quelques instants. Voir, mais pas être figée sur l’entrecuisse. Il y a les expressions du visage qui comptent infiniment, les lèvres qu’on se mordille, les gémissements, les souffles et pas seulement la vue exhaustive d’une vulve qui se tend… sauf peut-être lorsqu’elle se contracte. Regarder les gestes et les expressions, c’est aussi excitant que regarder les sexes. C’est même plus transparent.Je m’étais mise à frôler les poils de mon pubis, la main contre la vulve à m’essayer de dire aux doigts de prendre le relais, à faire jaillir le clitoris en appuyant sur le haut de la fente, à m’ouvrir en grand moi aussi. Elle s’était avancée pour la perspective. Son attitude « femme distinguée » ne m’impressionnait plus tellement. J’avais envie de la provoquer jusqu’à la faire se masturber seule pendant que moi je la regarderais.— Quelle belle fissure ! Prends-toi maintenant… oui, comme tu le fais d’habitude.Sûrement trop aboulique, ou trop timorée à son goût. Elle se lève, me saisit les cheveux, me tient fermement la tête en arrière et pétrit mes seins sans ménagement à travers le débardeur.— Quitte-moi ça, je veux te voir te branler nue… voir remuer tes seins, aussi.Le chemisier débraillé découvrait les siens. Poussée d’adrénaline. Elle m’agrippe aussitôt et se plaque derrière moi. Son souffle à nouveau dans mon cou et ses mots à elle dans le creux de l’oreille. Terriblement crus, les mots. Ceux qui font qu’un chat s’appelle un chat ...
    ... et qui enflamment encore plus les sensations quand les descriptions se font béotiennes. Elle plaque ma main sur « ce joli con de biche », pose le menton par-dessus mon épaule, le regard plonge. Impassible, presque froide mais terriblement sûre d’elle. Ne plus temporiser surtout.— Viens… laisse-toi aller… ouvre bien les cuisses.Une belle rhétorique… Le verbe cinglant, juste décalé ou décalé juste. Je renverse une nouvelle fois la tête, totalement engloutie dans l’instant. Des petits coups de langue rapides dans ma bouche entr’ouverte, je me parcours, m’enfonce en moi un peu plus que d’habitude. Les mouvements lents du début s’accélèrent, je la regarde « me voir faire », je gémis, un peu essoufflée, même beaucoup, me tords dans tous les sens. Elle sourit presque méchamment, me triture le bout des seins entre le pouce et l’index. Elle ne dit plus rien et soudain c’est le déchaînement, qui monte aussi dévastateur qu’un tsunami ! Je me tends. Un cri que je n’entends même plus, je me penche sur l’intérieur des cuisses, ruisselant bien plus que jamais avant… et sur la petite flaque qui se répand sur le sol. Il n’y qu’une femme qui puisse vraiment saisir toute la profondeur de l’expression « être inondée de bonheur ».***
    
    Dehors, c’était toujours le désert estival. Une chaleur encore intense à cette heure de l’après-midi. Nous marchions lentement côte à côte dans l’allée, direction la sortie du parc. On aurait pu se tenir un moment par la main comme pour esquisser un semblant de ...
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