Féminisé... (1)
Datte: 25/11/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Emil, Source: Xstory
... feuilles mortes et autres salissures. Instinctivement, j’adopte la position plié en deux - jambes tendues très écartées qui me paraît la plus suggestive si des témoins surviennent.
Vers 17h30 des voix féminines envahissent mon environnement sonore et je ne tarde pas à voir déboucher trois femmes entre deux âges en tennis et minirobes de coton. Elles sont, elles aussi, équipées de petits sacs à dos et transportent des matelas de camping roulés en mousse compacte. Je les aide à poser leurs affaires tandis qu’elles détaillent mon anatomie. La première est une femme massive plutôt grande. Sa poitrine est généreuse et tend son vêtement. Ses larges cuisses prolongent harmonieusement des fesses proéminentes. Son visage est enfantin. Tout y est petit et mignon (nez, oreille, bouche, cheveux très courts et bouclés) à l’exception de larges yeux titrant vers le gris. Sa petite tête semble s’être posée par hasard sur un corps pas fait pour elle. Ses pieds et ses mains minuscules semblent, eux aussi, avoir été greffés au hasard. Elle prend la parole d’une voix chaude en riant « Véronique... J’aime beaucoup votre costume !
Il vous va à ravir... » et profite de ma stupéfaction pour m’asséner une tape amicale sur les fesses. Presque cachée derrière elle se trouve son opposé nommée Lauriane : petite, mince, yeux noisette, cheveux très fins châtain coupés en carré, poitrine à peine ébauchée, hanches étroites et fesses plates, longs pieds et mains osseuses. Sa voix est aigue mais son ...
... expression est posée et laisse penser à une intellectuelle. La troisième, Anoko, est une immense noire, la tête ornée de dreadlocks courts, athlétique au physique de basketteuse et à la voix de stentor. Chaque mouvement sculpte une musculature d’une beauté peu commune. Les trois filles m’embrassent tour à tour en caressant mon dos et mes fesses. La soirée peut commencer... !
Tout d’abord, nous nous asseyons sur les rondins. Les filles me contemplent sous trois angles différents et leurs regards laissent peu de doute sur leurs intentions. Je suis pour elles un gibier désirable dont il faut se mettre en chasse. À peine avons-nous pris le temps de faire connaissance que déjà elles se sont rapprochées de moi et que leurs mains s’agitent, virevoltantes, en tous les endroits de mon anatomie. Peu à peu, leur attention se concentre sur l’intégralité de mes zones érogènes : je ne sais plus qui caresse l’intérieur de mes cuisses, qui soupèse mes couilles, qui branle mon sexe, qui pénètre mes fesses, qui caresse mes tétons, qui pénètre ma bouche...
Tout ce que je sais c’est l’intense excitation que je ressens et l’envie irrépressible de m’écarteler pour les aider dans leur tâche. L’émotion me gagne. Je me sens instable au point de m’accrocher à elles avec l’énergie du désespoir. Ce faisant, je découvre qu’elles n’ont rien d’autre sur la peau que leurs robes de coton. Je trousse et caresse des fesses minces et noueuses, fermes et musclées, rondes et douces...
Mes mains les ...