1. Le bout du début


    Datte: 23/11/2020, Catégories: fh, Oral pénétratio, sf, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... qu’il lui prodiguait. Comment avait-elle pu être aussi injuste avec lui ? Chacun de ses gestes débordait de douceur, de délicatesse.
    
    Elle désirait lui rendre un peu du plaisir qu’elle recevait. Sa main gauche, forçant les scratches, atteignit l’abdomen qu’elle avait dénudé, mais elle arrivait à bout de course. L’extrémité de ses doigts effleurait le pubis glabre sans pouvoir atteindre l’objet de son attention. Elle caressa cette zone, tendant ses doigts au maximum pour aller le plus loin possible. Sans succès.
    
    Lui n’eut pas ce problème, sa main se faufila entre l’épiderme et la culotte, son majeur glissa sans difficulté entre des grandes lèvres hospitalières, lubrifiées à point. Le doigt s’attarda ensuite sur les petites lèvres qu’il se contenta d’effleurer à plusieurs reprises pour ensuite dessiner de petits cercles concentriques autour du clitoris sans jamais le toucher.
    
    Susan avait suspendu sa caresse. La main crispée sur le ventre de l’homme, elle le laissait faire. Quand il toucha son sexe, elle s’épancha en longues plaintes. Le jeu du majeur agaçant son bourgeon l’expédia sans avertissement dans l’ascenseur pour le septième ciel. Aussi lorsque ce doigt pénétra son intimité, son vagin l’étrangla et elle partit dans une jouissance plus forte que la première.
    
    Lui, toujours aussi prévenant, entretint cette jouissance par de furtifs va-et-vient, le pouce légèrement appuyé sur un clitoris extrêmement sensible. Il était très excité ; il n’avait jamais pensé ...
    ... avoir d’une relation avec cette femme. Agréable surprise, elle provoquait chez lui un désir vrai, pas seulement une envie bestiale de baiser comme avec C.S.-F. .
    
    Lui, qui, habituellement, très égoïstement, ne pensait qu’à prendre son pied, se sentait investi d’une « mission ». Il restait très maître de lui, uniquement préoccupé de la trajectoire de sa partenaire. Aidé en cela, il devait le reconnaître, par l’impossibilité qu’il avait de se détacher complètement de la réalité, ni à s’extirper de son intégrale. À chaque seconde, les écarts de trajectoire, le bruit lui rappelait qu’ils vivaient, peut-être… sans doute, leurs dernières minutes.
    
    Comblée après ce nouvel orgasme, l’Italienne, les deux mains posées sur le crane rutilant du Suédois, avait définitivement oblitéré le danger qui les menaçait.
    
    Lui continuait de téter divinement ses pointes, de branler son vagin qui palpitait autour de ce doigt fureteur.
    
    Elle écoutait son plaisir. Monté très haut puis redescendu après l’orgasme.
    
    Déjà, sous l’action de ce seul doigt qui, non content de la masturber, retournait titiller son bourgeon, ses petites lèvres, elle entreprenait une nouvelle ascension.
    
    Elle ne pouvait pas rester ainsi passive. Elle se tortilla de telle sorte que leurs lèvres se retrouvèrent. Ce qui lui ouvrit, à elle, l’accès au service trois pièces de l’homme. Sa main s’intéressait surtout à une : le membre raide au gland humide. Elle n’avait jamais tenu de sexe masculin. Lors de son mariage, les ...
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