1. Le bout du début


    Datte: 23/11/2020, Catégories: fh, Oral pénétratio, sf, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... avaient quitté le salon depuis à peine cinq minutes. P…, il avait l’impression qu’ils étaient là depuis des heures.
    
    Des lèvres sur ses lèvres changèrent radicalement le cours de ses idées. Ben voyons ! Qu’est-ce qui lui prenait ? Cette fois, elle déraillait grave ! Quoique ! Dans quelques minutes, ils seraient probablement morts alors autant finir en beauté !
    
    Il répondit à son baiser, entrouvrit la bouche. De la pointe de la langue, il força les lèvres collées aux siennes, s’insinua entre deux rangées d’incisives qui s’écartèrent pour lui céder le passage.
    
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    17 août 2098, an 82 de l’Empire, 9 h 38 P.M.T., quelque part au-delà du Système Solaire.
    
    Elle était folle, folle à lier, mais y’avait urgence. Ils allaient mourir. Elle voulait… aurait-elle le temps ? Pourvu qu’il ne la repousse pas. Il réagit favorablement à son baiser. Elle oublia tout : le vaisseau, la mort, les météorites, Le Dieu. Seulement, cette langue qui la fouissait, cette main qui caressait son visage avec une vraie tendresse, cette autre main qui, glissant sous son corps, se plaquait sur sa fesse emboîtant son bassin avec le pelvis masculin.
    
    Elle eut instantanément un orgasme. Elle se sentit inondée. Elle n’avait jamais ressenti ça, ou alors y’avait longtemps, ou elle avait oublié. Peut-être se trompait-elle car son désir n’avait en rien diminué. À son tour, elle cajola le visage, le dos, les fesses de l’homme dont la virilité tendue pesait contre son bas-ventre.
    
    Elle ...
    ... aurait voulu sentir la peau de l’homme contre la sienne. Avec maladresse, mais persévérance, elle parvint à déscratcher le haut de la combine. Elle put, après quelques gesticulations, poser la main sur cette poitrine musclée, jouer avec des tétins qui ne demandaient que ça.
    
    Avec plus de dextérité, il avait fait de même. Il était parvenu à la dénuder jusqu’à l’aine. D’abord, il avait conduit une délicate opération de reconnaissance tactile, de son ventre qu’elle avait su garder plat, jusqu’à ses seins. Il avait dégagé, au forceps, ces derniers de la forteresse qu’était cet horrible soutien-gorge de grand-mère. Ses mamelons s’affermissaient sous la main qui les pétrissait tour à tour. Ses tétons, si foncés que sa peau en paraissait claire, se tendaient vers le doigt qui les titillait.
    
    Susan ne se sentait plus mouiller. Sa cyprine avait détrempé sa culotte et coulait le long de sa cuisse droite. Soudain, elle s’affola. La raideur contre son abdomen avait disparu. Heinrich interrompit leur baiser.
    
    — Non ! Il ne va…
    
    Elle n’eut pas le temps d’achever. La bouche qui avait brièvement déserté ses lèvres se posait au creux de son épaule. Par mille petits baisers attentionnés, elle descendit entre ses seins, avant de les assaillir. Après avoir léché, suçoté, baisouillé son mamelon droit, il emprisonna le téton érigé entres ses lèvres, et, comme un bébé, le téta.
    
    Susan flottait sur un petit nuage. Plaisir permanent. Elle s’abandonnait, sans retenue aucune, aux doux sévices ...
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