Le baume de l'âme (4)
Datte: 23/11/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... qui la limait à grands coups de rein. Et le gamin vint placer sa langue sur… son anus. Il entoura le cercle brun de sa salive, tenta une pénétration avec la pointe, mais comme la position et les mouvements de Marjorie étaient un frein à sa stabilité, il dut renoncer. Elle ne comprit que lorsque la seconde queue poussa sur la porte de la caverne qu’elle allait être prise comme une cochonne. Que deux bites allaient essayer de régler leurs mouvements de piston en elle. Et l’idée l’emporta dans un premier orgasme extra. Elle ruait avec son postérieur quand l’autre en cadence, se retirait au maximum de sa chatte.
Les deux Yann la limèrent longuement, la tenant fermement pour l’empêcher de remuer trop violemment, et d’être de ce fait désarçonnée. Les cris de jouissance remplissaient le salon, couvrant la musique qui continuait de marquer de son empreinte sonore la pièce ou les trois-là forniquaient allègrement. Leur seul leitmotiv : prendre le plus de plaisir possible. Demain serait un autre jour et il serait bien temps de voir ce qui se passerait. Elle passa d’une bite à l’autre avec la même ferveur, reçut l’offrande du sperme de l’un et de l’autre en bouche. Ils ne se privèrent pas de caresser partout cette femme qui les suivaient dans ces leurs folies.
Combien de fois son corps sursaut-t-il dans des combats épiques ou les ...
... mâles excellaient ? Marjorie ne comptait plus, elle prenait, donnait sans chercher à savoir si c’était bien ou mal, sans se poser de question. C’est un Yann qui la prenait alors qu’un autre lui tendait son vit, mais dans sa tête à elle, un troisième lui faisait des clins d’œil en l’encourageant muettement à aller de l’avant. Puis quand enfin épuisés, tous les trois restèrent immobiles, allongés sur la moquette, elle avait fermé ses jolis yeux. À travers les jalousies, les premières lueurs de l’aube affichaient un rayon de jour.
Lentement comme pour ne réveiller personne, Marjorie se releva, passa ses vêtements et se dirigea vers le canapé. C’est là que vers midi le père et le fils la trouvèrent endormie, apaisée, avec une sorte de sourire angélique sur les lèvres. Après le déjeuner, le gamin ramena la belle dans son château.
— oooOOooo —
Elle a depuis, toujours refusé de revoir l’un ou l’autre… mais ils ont tellement de beaux souvenirs… elle n’avait plus vraiment besoin d’eux. Libérée, remise sur la route de la vie, Marjorie saurait désormais profiter à nouveau des beaux moments d’une existence encore riche de magie et d’amour à venir. Petit à petit son ventre remis au diapason de son esprit savait distinguer le bon du mauvais et elle se dirigeait seule, vers d’autres conquêtes, d’autres demains chantants…
Fin !