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Le baume de l'âme (4)
Datte: 23/11/2020, Catégories: Divers, Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... sentait plus que bien. Les deux Yann suivaient les courbes gracieuses que la brune secouait à chacun de ses mouvements. Quand le fils s’approcha d’elle, pour la faire danser sur le disque que son père avait mis en route sur la platine, elle ne fit aucune difficulté pour se mettre à tourner. Pas plus quand il l’enlaça gentiment et que ses doigts pétrirent son dos. Elle gloussait, toujours dans un monde ou tout restait rose ou bleu. Le père s’amusait de les voir tenter de suivre la musique. Mais au bout d’un moment, il se leva de son fauteuil et se plaça dans le dos de la belle. Elle continuait de faire des pas avec son cavalier, entourée par l’autre aussi qui se pressait contre elle. Contre son ventre le jeune, et sur ses fesses le plus âgé. Elle laissait faire, se berçant lentement au rythme d’un étrange slow mal négocié. Les mains venues de derrière elle qui empaumèrent ses seins la firent grogner. Les deux hommes ne savaient pas si c’était une façon d’acquiescer ou de refuser. Le doute ne bénéficia à personne pour une fois. La dureté de ce qui se frottait sur son cul renvoyait son ventre vers un autre objet tout aussi solide contre son aine. Ces doigts qui malaxaient ses seins avaient sa trembler déboutonnés le chemisier et ils se trouvaient sur les dentelles de son soutien-gorge. Elle renvoya sa caboche en avant se caler dans le creux d’une épaule amie. Le danseur devant elle maintenant se cambrait de plus en plus pour qu’elle sente bien qu’il bandait aussi pour ...
... elle. Quand lui prit-il la main pour la porter à sa braguette ? Elle n’en avait aucun souvenir, mais elle se retrouva bien vite entre deux hommes au sang bouillant qui ne demandait qu’à lui faire l’amour. Il fallait qu’elle ait beaucoup bu ou qu’elle soit inconsciente pour se laisser dévêtir de cette manière. Mais elle ne fit aucun signe pour arrêter l’escalade et c’est en slip qu’elle finit par achever la série de slows. Les deux la serraient toujours d’aussi près. Et quand sur ses jambes le dernier bastion de sa vertu coulissa vers le sol elle tenait dans chacune de ses menottes un sexe de belle taille. Le poids de l’un d’eux qui appuyait sur son épaule l’obligeait à se courber, avant de se retrouver à genoux. Elle sut à partir de ce moment-là que se serait inéluctable. La queue qui faisait face à ses lèvres se frayait déjà un chemin entre ses deux mâchoires entrouvertes. Et l’autre derrière elle l’avait lâché pour se coucher sous ses fesses. La langue qui entama des va-et-vient sur sa chatte ne la perturbait plus. Elle aimait cette manière de la lécher, persistant à sucer le plus jeune. Ensuite les choses s’accélérèrent sans qu’elle n’y trouve rien à redire. Qui des deux la prit le premier ? Elle s’en moquait éperdument, sentant seulement le bonheur de cette intromission alors que sa langue passait et repassait sur la hampe crispée du second. Du cunnilingus l’autre la fit monter sur lui. Elle devenait comme folle. Elle se fourra le museau dans la toison drue du père ...