COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (5/5)
Datte: 23/11/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... nous pouvions les satisfaire sur-le-champ.
C’est à ce moment qu’une planche à craquer sous notre poids.
J’ai vu le commandant lever la tête et sortir son arme.
Le jeune soldat armant son fusil, j’étais pétrifiée, persuadé que notre dernière heure était venue.
C’est à ce moment que maman a fait preuve d’héroïsme.
Elle s’est levée en levant les bras.
Mamy a commencé à parler comme si elle faisait un dialogue avec le commandant.
- C’est moi, commandant je vous connais vous me choisissiez toujours quand vous venez passer un bon moment près de nous.
Souvenez-vous de ce que vous me disiez chaque fois que je vous faisais l’amour.
Bien sûr mamy parlait en français dans son récit.
Elle s’est sentie obligée d’ajouter qu’elle elle parlait en Chleuhs, du moins c’est le nom qu’elle a donné à mes parents pour qu’ils comprennent, car dans la famille c’est la dernière qui parle sa langue natale.
Chleuhs encore un nom a ajouté à mon vocabulaire.
- Descends, êtes-vous plusieurs ?
- Je suis seule, nous avons été virées du bordel dont vous parliez tout à l’heure, j’ai jugé que j’avais plus de chance seule.
J’essaye de retourner vers chez moi.
- Descends, tu fais fausse route, pour Berlin tu aurais dû partir à l’opposer de la maison où vous étiez.
« Maman est descendue, j’ai eu peur qu’il ne lui tire dans le dos. »
- Tu sais que les matrones nous obligeaient à avoir des tenues les plus faciles à enlever pour que nous puissions faire le maximum ...
... de passes avec les puceaux comme ceux qui sont avec toi.
Sur nos guêpières elles nous ont donné des manteaux tellement fins que j’étais sûr d’être mort de froid avant deux nuits.
C’est dans une ferme un peu plus haut que j’ai trouvé des couvertures pour me confectionner ces ponchos et une paire de chaussettes avec ces brodequins.
- As-tu gardé ta guêpière ?
« Descendue, elle s’est approchée à le toucher lui plaçant même sa main sur son sexe.
J’avais une peur que le plancher craque de nouveau montrant qu’elle n’était pas seule. »
- Oui, j’ai ma guêpière, tu sais celle que tu aimes tant quand je la porte.
Souviens-toi, tu me disais que je te faisais penser à ta maman qui portait la même.
Tu disais que mes seins étaient mis en valeur comme les siens.
Tu adorais les sucer, te souvenant du temps ou ta maman te donnait le sein alors que tu avais dix ans.
Montre-moi les jeunes puceaux que tu as avec toi, je suis certaine de pouvoir les satisfaire.
« C’est à travers les planches que nous avons pu voir ce qui allait lui arriver, elle avait réussi à les éloigner de nous.
Maman était en train de se suicider pour le commandant parlé de ses travers sexuels devant ses hommes l’obligeait à prendre une décision surtout qu’il avait son arme en main encore chargée après le craquement du plancher. »
- Mets-toi à poil, les gars, vous avez morflé depuis des semaines.
Quand j’ai réussi à vous avoir ces deux jours de repos au bordel, je vous avais promis que ...