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COLLECTION ZONE ROUGE. Mes origines allemandes. Saison I (5/5)
Datte: 23/11/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... extérieur. Je serai mon violon sur mon cœur sous le deuxième poncho. Maman aurait dû être couturière car celui qui était sur notre peau avait un trou pour la tête et deux trous pour les bras. Celui du dessus n’avait qu’un trou pour nos têtes, c’était assez lourd à porter, mais la liberté était à ce prix. Nos bras dans la clarté naissante du matin étaient ainsi protégés du froid. Ce qui nous a sauvés, c’est qu’aucun soldat ne surveillait leurs propres bordels. Ils étaient tellement persuadés que nous aimions passionnément ce que nous faisions pour la gloire de notre Fureur qu’il ne leur est jamais venu à l’esprit que nous pourrions fuir. Pendant deux heures sous le froid, nous avons marché, le jour s’étant levé. Maman avait peur que nous ne soyons repérés surtout avec nos tenues insolites. Nous avons repéré une grange isolée et nous avons passé la journée cachée dans le foin. Nous étions à dix mètres de la route et nous allions, nous remettre en route quand un bruit de moteur nous est parvenu. Nous nous sommes précipités pour nous cacher dans le foin sur la partie supérieur, en bas des machines agricoles rouillées semblant abandonnées. Il est vrai que quand je regarde les faibles forces qui restaient de notre bordel le monde agricole avait certainement lui aussi été décimé. Le moteur du camion à ralenti puis c’est arrêté pour notre malheur. Caché dans la grange, nous avons vu en regardant entre deux planches un commandant allemand ...
... entrer et alors qu’il relevait la tête nous créant une frayeur indescriptible, a ouvert sa braguette et c’est soulagé. Dans cette nuit de pleine lune, je regardais sa verge et je me surprenais même à regretter que, ce soir je n’ai pas un véritable homme comme lui pour me réchauffer. C’était la première fois depuis mes débuts de pute que je voyais une verge dans son simple rôle d’uriner. Il est vrai que certains de nos clients aimaient nous humilier, si c’était encore possible, en nous urinant dessus. L’officier était très beau gosse, il avait une grosse envie parce que cela durait. Je me suis surpris à finir par regarder sa verge avec envie, j’aurais dû être sevré de leurs sexes, mais celui que nous avions devant nous m’est apparu attendrissant. Hilde devait avoir le même sentiment car tout le temps où le bel uniforme se soulageait, elle a glissé sa main sous les couvertures et me caressait la chatte. Il se la secouait avant de la ranger quand j’ai été obligé de me mordre la lèvre pour éviter qu’il n’entende le cri de plaisir qui montait en moi. Un soldat est entré et en claquant les talons a prévenu notre beau commandant qu’ils étaient prêts à repartir s’il avait fini. Les hommes étant impatients d’arriver au bordel estimant qu’après le dernier assaut ou la moitié de leur compagnie avait été décimé, ils avaient bien gagné le droit de se vider les couilles. Nous aurions pu leur dire qu’il n’était pas nécessaire d’aller à deux heures de marche et que ...