1. Plaisir et soumission


    Datte: 22/11/2020, Catégories: h, fh, fplusag, jeunes, médical, hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, Masturbation nopéné, sm, inithf, hsoumisaf, Auteur: Bastian, Source: Revebebe

    ... de « Lubrifior Intime ».
    
    Je me sens rougir jusqu’aux oreilles, et je parviens péniblement à bafouiller quelques mots :
    
    — Euh, il doit y avoir une erreur… Vous êtes sûr que c’est ça ?
    — J’en ai bien l’impression, me dit-elle en me montrant l’ordonnance, et en pointant du doigt l’écriture plus ou moins lisible du docteur Liane. « Lubrifior, une fois par jour le soir, pendant sept jours. »
    
    Je reste interdit : il doit y avoir une erreur, quel rapport entre du gel intime et mon problème de cicatrisation (sur lequel je n’ai pas du tout envie de m’étendre avec la jeune préparatrice) ? Finalement, c’est elle qui me demande :
    
    — Du coup, vous faites quoi ? Vous le prenez quand même ?
    — Euh oui… Mais je rappellerai mon médecin, parce qu’il doit y avoir une erreur.
    — Très bien, ça fera neuf euros. Et ne vous faites pas de soucis, si votre médecin s’est trompé et que vous n’avez pas touché à l’emballage, on vous le reprendra sans problème.
    
    Le soir venu, me voilà donc chez moi, assis à mon bureau, avec cette énorme bouteille de gel intime devant moi. Je regarde à nouveau l’ordonnance. Non, la préparatrice a raison, j’ai beau retourner la feuille dans tous les sens c’est bien ce qui est écrit. Un peu par dépit, je tourne l’ordonnance et je remarque une inscription manuscrite au verso. Je regarde mieux, et je vois clairement un numéro de téléphone. Je retourne la feuille pour vérifier : ce n’est pas celui du cabinet, imprimé en bas de page, d’ailleurs, c’est un numéro de ...
    ... portable. Qu’est-ce que cela veut dire ? Serait-ce le numéro de téléphone privé du docteur Liane ? Si oui, pourquoi me l’avoir laissé comme cela sur l’ordonnance, sans rien me dire ? Je reste cinq bonnes minutes à me demander quoi faire, et je me décide à appeler pour en avoir le cœur net.
    
    Je compose le numéro. Le numéro semble valide, et au bout de la quatrième sonnerie, j’entends une voix féminine me demander qui est à l’appareil.
    
    — Euh, bonjour. Je voudrais parler au docteur Liane, s’il vous plaît.
    — C’est elle-même. Mais qui est à l’appareil ?
    — Bonjour, Madame, c’est Mathéo. On s’est vu tout à l’heure à votre cabinet…
    — Ah oui, bonsoir Mathéo. Eh bien que me vaut ce plaisir ? demande-t-elle.
    
    Elle ne semble nullement étonnée que je l’appelle sur ce qui est manifestement son portable privé.
    
    — Hum… eh bien, je vous appelle parce que je suis passé à la pharmacie après… Et je pense que vous avez dû fait une erreur de prescription.
    — Comment ça ?
    
    Elle n’a pas l’air de comprendre. Ou bien elle se moque de moi ? Je cesse de tourner autour du pot et je finis par me lancer :
    
    — Ben c’est-à-dire que… Vous m’avez prescrit une bouteille de lubrifiant intime, et je ne vois pas trop ce que je pourrais en faire !
    
    Au ton de se réponse, je devine qu’elle est en train de sourire.
    
    — Donc en fait, vous m’appelez pour que je vous dise quoi faire ?
    
    Sa réponse me laisse coi. Au bout d’une ou deux secondes, je parviens à bredouiller un semblant de réponse :
    
    — Euh… ...
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