Devenir la plus salope des salopes (4) - Histoires de Sexe

Devenir la plus salope des salopes (4)

... avide, me mis en position, sur les genoux, bien cambrée, la langue sortie pour récupérer mon dû. Je salivais, j’avais vraiment envie de ce bon sperme.

Étonnamment, il prit son portable, et me le tendis en mode selfie, en train d’enregistrer.

— Tiens, filme-toi ma petite pute.

— Mais pap Hmpf.

Il m’étouffait encore avec sa bite. Je crus que ça n’en allait pas finir, je manquais de souffle. Alors je pris le téléphone qu’il me tendait toujours et le tendit pour filmer mon visage.

— C’est bien ma fille, dit-il en se retirant de ma gorge. Je toussais un peu et reprenais ma respiration, puis me remis en position de réception tout en regardant la caméra du téléphone.

Il éjacula de manière extrêmement impressionnante, et me repeignis complètement le visage en évitant ma bouche et ma langue pourtant bien ouverte et suppliante. Je sentis le liquide visqueux et chaud se répandre sur mon visage en traînées épaisses, partant de ma joue et traversant mon front pour aller se perdre dans mes cheveux. Je me regardais dans le téléphone. C’est vrai que j’étais magnifique avec ce beau maquillage ; mais j’étais déçue de ne pas l’avoir bu. J’allais corriger ça en allant ramasser le sperme avec les doigts quand mon père me mit une petite tape.

— Tu l’as pas encore complètement mérité....

Il reprit le portable, arrêta l’enregistrement et le rangea dans sa poche. En voyant ma moue, il me fit nettoyer sa bite avec ma langue en compensation.

— Reste là, dit-il en allant en ...

... direction de ma chambre.

Il revint avec une robe à moi à la main. Le sperme commençait à dégouliner lentement sur mon visage. Il s’arrêta regarder un peu le spectacle. Sa bite était encore bandée. Il me retourna et me pénétra à nouveau, en doggystyle, mon visage face au miroir.

— J’suis tellement une salope... laissais-je échapper en m’admirant dans le miroir alors que les coups de mon père faisaient remuer le sperme sur mon visage en plus de mes seins.

— Et encore, t’es même pas à 50%, dit mon père.

Il me baisa encore un moment la chatte, me faisant à nouveau gémir.

J’aimais tellement le sentir en moi. J’aimais sa bonne grosse bite, si belle. Entre deux halètements, je gémissais des « papa... ». Il dut penser que je parlais trop, car il sortit de moi en approcha sa bite de mon visage.

Toute aussi excitée par le fait de me faire baiser la chatte que le visage, je le pris en bouche et commença à faire jouer ma langue, alternant entre une pipe goulue et quelques moments en gorge profonde. Il me prit la tête des deux mains et reprit le contrôle en faisant lui-même les mouvements, comme s’il se branlait avec ma bouche et ma gorge.

— Tu es née pour ça ma chérie. Tout moment où tu n’es pas utilisée est un gâchis. Tu n’as jamais été aussi utile qu’aujourd’hui. Bouche à bite : voilà pour quoi tu es faite.

Il sortit sa bite de ma bouche, je pus répondre :

— oui papa, c’est mon utilité ! Baise-moi, baise-moi la bouche avec la bite qui m’a créée !

Je me ...