Devenir la plus salope des salopes (4) - Histoires de Sexe

Devenir la plus salope des salopes (4)

... de poils nulle part, et sans me raser. Paraît-il que ça n’arrive qu’à une femme sur un milliard ?

— Une sacrée bonnasse, répondis-je.

— Mais ça, c’est grâce à moi. C’est moi qui t’ai faite aussi parfaite, okay ? Alors, porte honneur au corps que tu as. Redresse les épaules, sors les seins et les fesses. Déplace-toi toujours de manière féline et sexy. Il faut que même pour un type qui t’est passé dessus des dizaines de fois, tu sois toujours la plus désirable de toutes les femmes et pouvoir faire rebander instantanément n’importe quel type qui viendrait de juter sur toi.

Ses paroles m’excitaient au plus haut point. « Oui papa », dis-je en me redressant et en m’humectant les lèvres avec la langue. La barre était haute... Il n’y avait pas que ça d’ailleurs. Mes yeux étaient irrémédiablement attirés par la vue dans le miroir de son sexe en érection.

Il s’approcha de moi par-derrière et me saisit les seins tout en m’embrassant dans le cou. Son sexe dressé se pressait contre mes fesses. Je prenais plaisir à ses caresses qui devinrent de plus en plus fougueuses. Son sexe cherchait l’entrée de mon cul.

— Papa, dis-je, « Je n’ai jamais... »

— Tu te dis salope et tu es vierge du cul ? comprit-il tout de suite. « Bon, OK... On va y aller doucement, avec un peu de lubrifiant... naturel ».

Il me retourna, et me fit m’accroupir, le dos collé contre le miroir. Sans hésiter et embrassant mon rôle, j’ouvris grand la bouche dans lequel il plongea sa bite. Il la ...

... ressortit plusieurs fois, avec de plus en plus de bave. Puis quand il jugea la quantité suffisante, il se retira.

Je savais quoi faire et je me retournai à quatre pattes, face au miroir, le cul remonté vers lui, comme suppliant. Je restais comme ça, mais il ne se passait rien. Je le vis dans le miroir, sa bite prête, avec un air de défi.

— Encule-moi, papa.

Il ne se fit pas prier et s’enfonça dans mon cul, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, me faisant découvrir de nouveaux plaisirs.

Tout en me baisant sauvagement, il appuie sur mon dos, faisant toucher le sol à mon visage. Mes joues frottent contre le sol au rythme de ses coups.

Au bout de quelques savoureux instants, il me redressa par les cheveux face au miroir tout en continuant de me baiser.

— Qu’est-ce que tu vois ? demanda-t-il à nouveau.

Je voyais que mon fantasme était en train de se réaliser. Je voyais dans le miroir une bonne pute au corps parfait en train de se faire baiser par son propre père, ses seins gigotant au rythme des coups de bite. Je voyais une lèvre à moitié mordillée et des yeux remplis de plaisir.

— Je... ah ! vois une vide couuuuuuuuilles, une saloooope, bourrée par son papaaaaaa ouiiii vas-y, baise-moi papa oui, hurlai-je.

— Tu crois pas que ce joli visage manque de quelque chose, salope ?

— Oui mon papa, il me faut ton bon sperme bien crémeux sur ma petite gueule. Je suis née pour ça, pour que tu me vides ton sperme dessus !

Il arrête de m’enculer et moi, ...