1. Devenir la plus salope des salopes (4)


    Datte: 22/11/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Emi.Nipal, Source: Xstory

    Mars 2
    
    Ce dimanche matin, je me réveillais sous des ondes de plaisir. Alors que j’ouvrais les yeux, convaincue d’être en train de rêver, je vis et sentis papa rentrer et sortir sa bite de ma chatte avec entrain. Il me vit ouvrir les yeux et dit :
    
    — Tu as la chatte serrée, c’est super agréable.
    
    — Merci papa, dis-je, pas réveillée, mais en commençant à haleter tandis que son sexe entrait en moi. J’étais sur le dos et lui m’avait trouvée nue et endormie, il avait tout simplement décidé de m’utiliser.
    
    Je commençais, émergeant du sommeil et malgré le plaisir de me faire sauter, et qui plus est par mon père, à me rendre compte que j’étais dans ma chambre, la porte ouverte. Il ne fallait pas qu’on nous voie ! Je commençais à paniquer.
    
    — Mais papa...
    
    Commençais-je à voix basse, « Maman et Alice vont nous voir ! Tu as Mmmmmpf ». Il était sorti de ma chatte et me fit taire en montant au niveau de mon visage et en m’enfonçant sa bite dans ma gorge, d’un seul coup et sans préparation. Sur moi, il se maintenait fermement enfoncé, de sorte que je ne pouvais plus respirer. Il dit en prenant son temps :
    
    — Tais-toi princesse. Ta bouche est faite pour sucer, pas pour parler, c’est clair ?
    
    Je hochais la tête légèrement, avec la faible amplitude qui m’était permise. Il resta là en me regardant dans les yeux.
    
    Grâce à mon super entraînement, je n’avais aucune nausée, mais je commençais à manquer d’air. Il se retira, emmenant avec lui une énorme quantité de bave qui ...
    ... faisait un pont entre sa bite et ma bouche. Il prit sa bite en main et me barbouilla de bave, mon visage avec.
    
    — A partir de maintenant et quand nous sommes tous les deux, tu n’es autorisée à parler que quand je t’en donne la permission ou pour parler de sexe. C’est clair ?
    
    — Oui Papa, répondis-je.
    
    — Bonne chienne, dit-il en me tapotant les lèvres avec sa queue. « Je suis content de t’avoir créé ; tu es ma fille et tu m’appartiens. Je vais te dresser comme tu le mérites. »
    
    Je souriais.
    
    — Debout ! ordonna-t-il.
    
    Je m’exécutais. Il recula d’un ou deux pas et me toisa de haut en bas. Après quelques secondes, il m’attrapa soudainement pas les cheveux et me fit le suivre hors de ma chambre, puis m’amena dans la sienne. Je ne vis personne sur le chemin, elles devaient être sorties. Il m’amena face au miroir.
    
    — Qu’est-ce que tu vois ? demanda-t-il de manière pressante.
    
    Je me regardais. J’étais vraiment canon. Jambes et taille fine. Seins gros et fermes dont j’étais si fière, bien dressés et semblables à la poitrine de quelques-unes de mes idoles, alors qu’ils étaient complètement naturels. Pourtant, ils défiaient la gravité. En parlant de défi, je défiais quiconque, homme comme femme, de me voir de dos sans mater mon cul. Mes beaux cheveux blonds cendrés tombaient sur mon visage, quelques mèches collées à lui à cause de la bave dont m’avait tartiné mon père. Mes yeux verts luisaient d’envie et ma bouche était avide de bites. J’étais complètement glabre et n’avait ...
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