1. Le nouveau mâle dominant de la meute. 7


    Datte: 21/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... de bite, se retirant pour ne laisser que son gland prisonnier et replongeant en regardant son défonce-cul disparaître, avalé en entier par ce trou accueillant
    
    -Huuuummm ! Ooooooh ! Aaaahhhhh ! Ouuuiii continue !
    
    - Oooh putain ! Ton cul est aussi serré que celui de ta fille ! S’exclame-t-il.
    
    Le passage s’est enfin adapté et Lucie ressent avec plaisir cette queue épaisse qui explore ses intestins. Elle s’abandonne totalement à lui, elle est la salope de ce petit morveux, la chienne de ce Mâle dominant sous les yeux de son mari et de sa fille.
    
    -Oh mon Dieu ! J’aime ! Quel morceau !
    
    Elle se baise le fion en gémissant, elle fait aller et venir son chibre, s’enculant elle-même, ne sentant plus la douleur compétemment endormie par la monté du plaisir.
    
    Les ondes nerveuses prennent le relais et envoient des signaux de plaisir à son corps d’une manière qu’elle a rarement connue.
    
    - OOOhhhh ! Huuummm que c’est bon !
    
    Elle approche rapidement d’un nouvel orgasme sous les coups de boutoir de Claude qui ne faiblissent pas, commençant à perdre l’esprit.
    
    - AAAAAhHHHH !
    
    Mais elle veut reprendre le contrôle et l’implore en s’éjectant de sa queue:
    
    - Ooooooh Claude ! Je voudrais que tu t’assoies dans ce fauteuil et que tu me laisse faire !
    
    Docilement, il s’installe dans le fauteuil, sa queue humide fièrement dressé. Lucie le rejoint et lui tourne le dos, elle pose ses mains sur les accoudoirs puis sur son torse, un pied puis l’autre sur les genoux de Claude et ...
    ... élève lentement son corps.
    
    Lydia se précipite pour diriger le pénis de Claude fortement veiné pour que le gland franchisse la barrière anale.
    
    Elle serre les fesses instinctivement avant de se détendre pour s’empaler à nouveau sur la tige pharaonique, se déplaçant ensuite verticalement, en augmentant progressivement la vitesse et la profondeur.
    
    Ses bras commencent à tétaniser mais elle ne veut pas arrêter avant qu’il ne jouisse. Son esprit est déconnecté comme un coureur de Marathon ne tenant plus que par la volonté pour finir le parcours.
    
    Elle gémit…ou lui… elle ne sait plus et s’en fiche, ne pense qu’au bélier qui la défonce, qui déforme son anus ouvert au-delà de ses limites.
    
    Pour la première fois Claude devient vulgaire :
    
    -Espèce de grosse pute ! Je vais te graisser les boyaux comme jamais !
    
    Ses mains se crispent sur la poitrine de Lucie et il se met à râler. Lucie l’encourage :
    
    - Ouiiiiiiiiii petite frappe !…. AAaahhhh ! Jouis ! Remplis-moi le fion !
    
    Il pince violemment les tétons durs comme la pierre, au bord de la jouissance.
    
    - Ouiiiii ! Vas-y bordel !
    
    Elle sent la formidable lance gonfler encore et arroser ses entrailles d’un sperme épais et abondant. Lucie s’écroule sur lui, sa main s’accroche à ses couilles pour en extraire son jus, continuant de surfer sur les vagues de son orgasme, gémissant sans discontinuer.
    
    L’intensité de cet instant est inimaginable et elle voudrait que çà dure éternellement.
    
    Le plaisir a été intense, aussi ...