1. Moi, Pro-Fesseur, épisode 2


    Datte: 19/11/2020, Catégories: Première fois BDSM / Fétichisme Lesbienne Auteur: charime, Source: xHamster

    ... et traite Sidonie comme si elle était devant moi. Putain, je commence à avoir mal aux bras de fouetter son corps. Les minutes s’écoulent et elle n’a pas encore émit le moindre cri, le moindre murmure de douleur. Je cravache, armant loin mon bras. Ses cuisses commencent à bleuirent, son cul devient bleu, presque noir, sa poitrine est enfle de mes coups et elle supporte encore. Il ne me reste que les aiguilles et la cire. Je bande ses yeux superbes. Cette fois, je lis clairement la peur sur son visage. Je fais grand bruit en tournant autour de son corps. Je retire les pinces sur ses mamelons, premier cris de douleur, première larme. Pourtant elle mouille encore, mais cela ne serait durer.
    
    Je laisse la cire fondre lentement, je prépare les aiguilles, désinfecte ses seins, son sexe. Première aiguille, second râle de douleur. J’ajoute de la cire brulante, elle hurle enfin et ne mouille plus. je continue tout le temps qu’elle ne me suppliera pas d’arrêter. Son corps n’est plus que douleur et pourtant elle ne semble pas vouloir à ce que tout s’arrête. Cire, aiguille cravache, tout y passe. Je commence à fatiguer. Électrode, électrocution, elle hurle ...
    ... encore plus fort. J’ai peur, peur de moi, peur d’avoir la main trop lourde. Je lui suggère de me dire, de me clamer, de me supplier de tout arrêter, sa tête me fait NON ! Je continue, plantant une aiguille bien droite dans le centre de ses tétons. Elle hurle encore, j’étire ses nymphes, les garnis d’aiguille, de cire. Elle perd connaissance, je l’asperge d’eau glacée, elle se soulage entièrement sur le sol en revenant à elle.
    
    « On arrête ? »
    
    « Non, je veux vous prouver que je peux supporter encore plus, Maître. »
    
    « Tu n’as plus rien à me prouver, plus pour le moment. J’arrête, j’en ai déjà trop fait, bien plus qu’avec n’importe qui. Je veux une femme soumise, pas une masochiste. »
    
    « Mon Maître m’aimerait-il ? »
    
    « Autant que tu m’aimes ma petite salope. »
    
    « Oui, je suis votre salope, votre pute, tout ce que voudrez que je sois si c’est le prix à payer pour vous appartenir. »
    
    Dans mon lit, son corps libre de toutes tortures, je la soigne, l’embrasse, me montre plus tendre que je ne l’avais été à ce jour. Et, dans le sombre de la chambre…
    
    P.S. Histoire écrite d’un trait, sans correction ni la moindre relecture.
    
    À suivre… 
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