Moi, Pro-Fesseur, épisode 2
Datte: 19/11/2020,
Catégories:
Première fois
BDSM / Fétichisme
Lesbienne
Auteur: charime, Source: xHamster
... mauvais traitements.
Elle prend mon collier de mes mains, se le met, ferme le petit cadenas, jeta la clef dans les WC en tirant l’eau. Le geste est suffisamment fort pour que même le dernier des idiots comprenne son action comportement. Elle se dirige vers mon bureau, sort ce que je n’avais jamais montré, un contrat de soumission totale, sans limite dans le temps. Là, j’ai appelé Isabelle pour tout lui balancer. Paul, son mari, n’est pas là, encore à l’étranger, ce vil pervers. Elle me dit arriver sous peu, je refuse sa présence, comme une punition. Une punition pour elle comme pour moi, je le concède.
Elle se couche sur le sol froid, replie ses jambes, passe ses bras derrière ses genoux. Son sexe est ouvert comme une rose à la rosée, humide, sa mouille perle, c’est magnifique. Elle me supplie par son regard. Je plonge ma queue dans son sexe je suis au fond en un coup, j’ai tout déchiré, sa bouche, pour ne pas crier, m’embrasse à pleine bouche. Sa langue fourmille dans ma bouche. Elle s’accroche à moi, m’enlace de ses membres. Nous faisons l’amour, l’Amour avec ce A majuscule, ce qui fait toute la différence. Nous ne nous faisons aucune promesse, juste la sienne que j’approuve sans réserve, celle de me servir indéfiniment. Je me sens faible, moi l’homme sûr de son fait. Je me découvre une faille dans ma cuirasse, une faille que je n’ai pas vue. Elle s’y est engouffrée et, je l’avoue, le confesse, c’est merveilleux de découvrir qu’on n’est pas qu’une brute avide de ...
... plaisir, malsain comme la plus part des autres.
Il se fait tard, mon côté dominateur n’est pas encore éteint. Je la prends, l’enferme dans sa prison pour la nuit, son pied enchainé à son "lit". Je sors un moment, il me faut de l’air, du recule. Un bar est encore ouvert, un double me fera le plus grand bien.
Dans un coin, une femme branle son mec de ses mains. Dans un autre, une femme se fait copieusement masser son corps par une autre, dévoilant ses charmes. Je me pose, commande, paie et vais boire dehors, derrière, sur la terrasse déserte. Un petit cigare à la bouche, je regarde le ciel couvert, sans étoile, sans lune. Des centaines de question se bousculent dans ma tronche. Je vois déjà la tête de mon frangin quand il sera, parce qu’il faut qu’il sache !
Quand je me retourne, deux hommes s’enculent, je souris, l’un est un joli soumis. Je passe près d’eux, caresse sa tête.
- Continue comme ça, t’as un bon Maître.
Je rentre en faisant moult détour, comme pour repousser l’inévitable, me retrouver face à moi-même avec ma nièce, Sidonie. Elle dort quand je rentre, je me sers encore un double que je viens boire près d’elle, assis près de son petit lit. Elle ronfle un peu, je souris. Je ne la réveille pas comme je l’aurais fait pour une de mes clientes, elle n’est pas une cliente, plus, du moins. Je me couche enfin, dans mon lit. Je peine à trouver le sommeil, tellement de questions sont encore sans réponse.
À mon réveil, je la délivre, elle fonce vers la cuisine, me ...