1. 6 février 2048


    Datte: 25/04/2018, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral 69, pénétratio, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... d’un replacement pour libérer ma virilité, et ses mains prennent possession de ma verge. Elle me caresse. Aucune douceur dans ses gestes, juste un besoin maladroit de me donner du plaisir. Malgré la légère douleur qu’elle engendre, je laisse libre cours à son désir.
    
    Soudain elle cesse, se dégage, se délaisse de sa culotte et se couche sur le dos. Je pose doucement mon corps sur le sien ; elle écarte les jambes. Je suis inquiet, me rappelant de l’aridité de l’endroit. Quand mon gland entrouvre ses lèvres, je me rends compte de l’humidité, mais aussi de l’étroitesse du lieu. Je regarde Selma, les sourcils froncés mais résolus. Je l’embrasse et pèse plus sur son corps ; mon bassin oscille et mon sexe pénètre plus profondément à chaque coup de reins. Son vagin s’adapte au corps étranger qui le force, il s’humidifie plus et, finalement, l’accepte. Mon pubis rejoint le sien dans une ultime poussée. Des larmes roulent sur ses joues ; je ne sais pas comment interpréter cette réaction.
    
    — Veux-tu que je me retire ?
    
    Entre deux sanglots, elle secoue la tête négativement. Je remue doucement. L’instant est irréel : je fais l’amour à une femme qui, sans me refuser, ne prend visiblement aucun plaisir. Mes mouvements prennent de l’ampleur ; l’étroitesse du lieu est bien lubrifiée maintenant. Quand je bute contre sa matrice, ses ongles se plantent dans mon dos. C’est la première manifestation de ma partenaire à nos ébats. Elle ferme les yeux maintenant et elle continue à labourer ma ...
    ... peau. J’ai un mal fou à me contrôler, je fais des pauses fréquentes. Par un mouvement plus ample, mon sexe sort complètement. Surprise, elle ouvre les yeux, et d’un petit coup de bassin elle fait pénétrer le gland d’une seule poussée. Cette action déclenche instantanément ma jouissance : je me répands abondamment sur ses grandes lèvres et sur sa toison.
    
    Je suis mal à l’aise ; j’ai l’impression d’être passé à côté, de ne pas avoir trouvé la clé de son plaisir. Elle se lève et se dirige vers la douche ; je reste sur le lit, pensif, honteux. Ma grande peur, c’est qu’elle s’habille et qu’elle parte sans un mot. Elle revient, toujours nue, et reprend sa place à mes côtés. Elle m’offre ses lèvres ; elles sont fraîches, et sa langue est mobile et ardente. Je l’entoure de mes bras et nos corps se soudent. Mes mains jouent avec le grain de peau de Selma ; je ne laisse aucun centimètre inexploré, des fesses aux épaules. Ma partenaire me rend la pareille. Passant sur les éraflures qu’elle m’a infligées, j’ai un petit mouvement de recul.
    
    — Je t’ai fait mal, me dit-elle d’une voix navrée.
    
    Je l’embrasse.
    
    — Ce n’est rien par rapport à ta douleur. Tu pleurais tout à l’heure, et tu n’as pas pris de plaisir.
    
    Après une contraction violente, elle se détache. Sa respiration est rapide, entrecoupée d’apnées qui lui provoquent des haut-le-cœur. Je pose ma main sur son abdomen. Des larmes jaillissent dans un violent hoquet. Son corps est secoué de spasmes ; elle pleure. Je la serre ...
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