1. Troublante révélation


    Datte: 18/11/2020, Catégories: fh, fplusag, frousses, vacances, bain, pénétratio, fdanus, Humour québec, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... fesses blanches comme de la cire.
    — Je sais mon beau, profites-en ! Ouf… Ah ! oui, Paul… c’est bon…
    
    Je souris heureux en sortant mon pouce du petit trou pour lui pogner le derrière avec force, décidé à finir ma petite affaire.
    
    Le soleil commençait à taper dur et moi à fatiguer.
    
    Dix minutes plus tard, j’allais jouir quand Marie réapparut.
    
    — Désolée, j’ai oublié ma bouteille d’eau, fit-elle embarrassée en fouillant dans son sac cette fois, si belle, ma grande sœur.
    — Les fesses, ça va ? lui demandai-je en grimaçant mon ventre heurtant le cul de Pierrette bruyamment.
    
    J’eus droit à une autre jolie grimace. J’étais amoureux de ma sœur, ça me frappa de plein fouet à ce moment-là et ça me rendit malheureux tout en me faisant conclure.
    
    Je sortis rapidement ma bite du vagin et déchargeai en l’appuyant sur lacraque de fesses de Pierrette. Mon sperme jaillit jusque sur ses cheveux en s’étalant sur son dos sous les yeux de Marie qui regarda malgré elle ma bite pisser du sperme sur sa tante. Puis elle fila sourire aux lèvres retrouver son écureuil sans doute.
    
    Je couvris les reins et les fesses de Pierrette de foutre liquide et me reculai en me la pressant, en sueur et soulagé.
    
    — Désolé ! J’aide la misère à venir en dedans, fis-je le souffle court en me la secouant voyant Marie descendre les escaliers avec une extrême prudence.
    
    Son corps de mannequin dans la cinquantaine m’obsédait toujours autant.
    
    — Of ! Seigneur, Paul, c’est pas la première fois qu’on me ...
    ... vient dessus ! dit-elle, essoufflée elle aussi en se relevant. Ouh ! ça chatouille, ça me coule dans le dos.
    
    Elle frissonna malgré la chaleur.
    
    — Allons nous laver, mon grand ! Tu m’as fait jouir deux fois !
    — Ah, c’est le point G !
    — Hein !
    — Eh, rien !
    
    Après la baignade on se fit bronzer sur le sable tous les trois. La tête me tournait à force de me demander si je devais tout avouer à Marie au risque de ne plus pouvoir la baiser. Un dilemme égoïste. Pierrette me fit un clin d’œil en crémant le dos, les fesses et les belles cuisses de Marie couchée sur le ventre les yeux clos. Elle en profitait tandis que je la regardais faire en bâillant. Une vision céleste.
    
    — Un petit massage, ma grande, ça te ferait du bien ?
    — Hum ! fit Marie tout sourire en ouvrant un œil. Ça me tenterait bien, mais on a un voyeur juste à côté.
    — Tu parles du gars qui baye aux corneilles ou de ton écureuil ? dit Pierrette en s’installant à genoux au-dessus des cuisses de Marie en se vidant de la lotion solaire plein les mains en me regardant tout sourire.
    
    Elles rirent.
    
    — Fais dodo, Paul, m’ordonna Pierrette.
    
    Elles rirent encore tandis que je me retournai obéissant et fermai les yeux en bâillant à nouveau.
    
    — Un vrai petit chien, fit Marie.
    — Ben oui, répondit Pierrette. Y est ben dressé, comme ton écureuil. Si un vilain nounours approche, attaque, mon petit Paul…
    — Wouf ! Wouf ! fit Marie.
    
    J’entendis vaguement des rires sur un fond de cascade…
    
    … Et Popa fit dodo.
    
    Un ...