1. Troublante révélation


    Datte: 18/11/2020, Catégories: fh, fplusag, frousses, vacances, bain, pénétratio, fdanus, Humour québec, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... sœur l’a fait examiner par des psys, ils ont dit que soit elle ne voulait plus se rappeler, soit qu’elle avait oublié à cause du traumatisme causé par la mort de sa mère. Elle a toujours agi comme si on était sa vraie famille. À mon avis, elle ne se rappelle vraiment pas.
    —Décrisse, tabarouette !
    
    C’était Marie et son écureuil.
    
    — Merde ! J’ai baisé ma sœur ! dis-je doucement en la regardant lancer un bâton au petit animal qui le lui rapporta comme un chien sentant mon petit cœur tout démoli.
    — Bof… Seigneur, Paul, fais pas cette face-là ! T’es pas le premier ! Il n’y en a pas mal plus qu’on pense qui le font. Je masturbais mon frère et ses amis, moi, quand j’étais jeune. On est curieuses nous aussi, les filles.
    — Ouais, mais là, on a passé l’âge de jouer au docteur, Pierrette.
    — Ben justement. Ah, mon petit Paul, t’es amoureux, toi, on dirait ?
    — Pardon ?
    — Ça se voit, même Marie s’en est rendu compte. Il y a tellement de gars qui tombent amoureux d’elle, mais plus pour son corps qu’autre chose. Elle le sait tout de suite, mais avec toi c’est différent et elle en pince pour toi aussi.
    — Ben non, Pierrette, j’aime ma blonde, pis Marie, ben… Est bandante à mort, c’est tout…
    — T’es sûr ?
    
    Gros soupir de ma part. Non, je n’étais pas sûr, pas sûr du tout.
    
    — Mais, je lui dis ou pas ?
    — À ta place, j’y dirais, mais c’est à toi de décider. Moi je m’en mêle pas, mais je pense qu’elle a le droit de savoir. Ce n’est pas croyable comme coïncidence, mon petit ...
    ... Paul.
    — Merde !
    — Hum, pauvre toi ! D’un côté, tu as retrouvé ta sœur perdue depuis 40 ans, mais de l’autre, t’as le goût de la baiser. Pis pourquoi pas, vous êtes plus des enfants. Dis-lui et tu verras bien ce qu’elle fera et pis vous êtes des étrangers l’un pour l’autre. Ce n’est pas comme si vous aviez grandi ensemble au sein d’une famille de dégénérés.
    
    Gros soupir et mon disque dur venait de figer.
    
    — Bouge donc un peu, Paul…
    
    Je me remis à la besogne en lui empoignant les seins, mais l’esprit ailleurs, et elle me gifla encore et pas à peu près. Ma mâchoire se décrocha quasiment.
    
    — Outch ! fis-je surpris en frottant ma joue brûlante.
    — Paul, quand on honore une fort jolie dame comme moi et que celle-ci vous offre son corps si généreusement, on le fait sans penser à une autre, hum !
    
    Et elle rit en recommençant à se masturber et moi à me concentrer.
    
    — OK !
    
    Elle haletait doucement, tournant la tête parfois et déglutissant. Ses orteils se repliaient ou se retroussaient chaque fois qu’elle accentuait ses pressions au sommet de son sexe. Je laissais mes mains courir sur son ventre, ses hanches, ses cuisses et finis par la prendre par les chevilles et lui tenir les jambes en l’air bien écartées pour la mettre avec plus de force et beaucoup plus de plaisir et ça devait s’entendre d’en bas.
    
    Toute la chair tendre de son corps en sursautait. Quand je tiens une femme comme ça, je ressens toujours un étrange sentiment de puissance ! Submergé par le plaisir que je ...
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