1. Troublante révélation


    Datte: 18/11/2020, Catégories: fh, fplusag, frousses, vacances, bain, pénétratio, fdanus, Humour québec, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... ressentais, je n’entendis pas Marie arriver, superbe avec ses cheveux mouillés et son long corps dégoulinant d’eau.
    
    Ma sœur !
    
    — Stressez pas, je viens juste chercher la crème à bronzer. Tu l’as amenée, ma tante ?
    
    Elle me jeta un petit regard timide, sourire aux lèvres, en repoussant de longues mèches de cheveux humides derrière ses oreilles. Sœur ou pas, c’était bandant de baiser Pierrette sous ses yeux, surtout dans cette position.
    
    — Oui… fit Pierrette un peu dans les vapes en se pressant un sein se masturbant toujours. Dans la petite poche sur mon sac, en avant.
    — Pis, lui demandai-je en besognant sa tante, ton écureuil ?
    — Y me suit comme un petit chien.
    
    Surpris je tournai la tête et le vis sur une souche qui nous fixait.
    
    Eh bien !
    
    Marie trouva la lotion en souriant, rouge jusqu’aux épaules et repartit sans dire un mot, tête droite, marchant fièrement suivie par son admirateur à longue queue poilue.
    
    — Ça doit être un mâle, ma grande, lui cria Pierrette en riant et gémissant. Les ours, les écureuils, les campeurs, les bûcherons… Ouf… Tupognes, ma grande !
    — Ben drôle, ma tante.
    — Les gardes-chasses aussi ! criai-je à mon tour en regardant le beau cul de Marie couvert de sable et qui se balançait.
    
    Je retournai la tête et…
    
    Paf !
    
    Une autre gifle et sur l’autre joue. Ma vue se brouilla.
    
    — Outch !
    — Toi, tu t’occupes de moi, mon petit monsieur.
    — Oui, madame ! Je commence à aimer ça.
    — T’en veux une autre ?
    — Non, merci.
    
    Je ...
    ... reposai ses jambes sur la table et m’accrochai à ses seins pour la besogner comme un fou.
    
    Pierrette jouit à ce moment-là. Ses genoux se plièrent et se refermèrent contre mes hanches et elle arqua le dos en gémissant tout bas… Elle rougit jusqu’aux seins en ayant l’air de souffrir terriblement et Marie cria.
    
    Je tournai la tête à temps pour voir qu’elle avait glissé dans les escaliers et déboulait les marches sur les fesses avant de tomber à l’eau. Elle en ressortit très dignement en sacrant tout en se frottant le cul tout rouge.
    
    Je retournai la tête en la reculant pour éviter une gifle. Mais pas cette fois.
    
    J’attendis que Pierrette reprenne son souffle un moment avant de me retirer d’elle et de la faire se relever pour la descendre de la table et l’obliger à se retourner et se pencher dessus tandis que, d’un pied, je lui écartais les cuisses. Je la repris avec force me tenant à ses hanches en faisant sursauter ses fesses molles. Y manquait que la pleine lune.
    
    Elle gémissait joue contre la table, bouche entrouverte, si belle, rudement secouée encore une fois avec ses seins écrasés sous elle et qui débordaient de son torse. Comme dans mon rêve je crachai sur l’anus plissé et y enfonçai mon pouce prudemment. Elle giflait trop bien, la dame.
    
    — Hum, fit-elle, petit cochon ! Mais tu ne me la rentres pas là… C’est trople fun à bonne place, mon grand !
    
    Petite déception.
    
    — T’as uncristi de beau cul, Pierrette ! lui dis-je fiévreux, essoufflé et en sueur en fixant ses ...