1. Troublante révélation


    Datte: 18/11/2020, Catégories: fh, fplusag, frousses, vacances, bain, pénétratio, fdanus, Humour québec, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... pour me frotter le gland pour bien le lubrifier et la pénétrer en douceur jusqu’à ce que mes couilles touchent la table. Je me penchai et commençai à sucer et mordiller ses mamelons avec elle, ou lui suçai la langue et lafrenchai en sentant le soleil me chauffer les fesses et les couilles. Savoir que Marie en bas n’avait qu’à ouvrir les yeux pour nous voir redoublait mon excitation. Je baisais une lesbienne, ça me tournait dans la tête, qui n’en rêve pas ? J’allais me réveiller à un moment donné, c’était sûr.
    
    Je me rappelais hier quand je les espionnais et que Pierrette appliquait de la crème solaire sur le dos et les fesses de Marie. C’est vrai qu’elle avait l’air d’aimer ça. Hi ! Hi !
    
    N’en pouvant plus, je me redressai en m’agrippant à ses hanches et commençai à la fourrer doucement en la regardant amener sa main droite à son pubis pour se masturber l’autre toujours sur ses seins et se suçant toujours les mamelons, l’un après l’autre, qui avaient redoublé de volume. Le dos de ses mains était comme sa gorge, recouvert de magnifiques taches de rousseur. Pourquoi Marie n’en avait pas, pourquoi elle n’était pas rousse comme tout le monde dans sa famille comme elle l’avait mentionné ?
    
    Ça me travaillait toujours tandis que nos pubis se tamponnaient durement… Et si…
    
    Je stoppai, laissant mes mains caresser ses cuisses musclées.
    
    — Ahhh ! se plaignit-elle doucement. Pas déjà ?
    — Non. Eh ! Pierrette ? fis-je bien décidé à en avoir le cœur net.
    — Hum ! fit-elle ...
    ... mollement cessant de se masturber.
    — Je peux te poser une question indiscrète ?
    — Eh ben, Paul, c’est rare les gars qui aiment jaser en baisant. T’es une perle, toi !
    — Of ! fis-je modestement.
    
    Elle lâcha ses seins en expirant, ceux-ci roulèrent sur son torse en s’aplatissant jusque sur ses côtes.
    
    — Oui, quoi ? demanda-t-elle en croisant les mains sous sa nuque et laissant ses pieds glisser de la table comme si elle se faisait bronzer.
    
    Elle me fixait en souriant.
    
    Elle était si belle avec sa peau de lait et luisante de sueur au soleil, ses seins pendants aux pointes dressées, ses taches de rousseur, sa toison rousse et ses cheveux mouillés.
    
    — Ben, quand j’étais jeune…
    
    Je lui contai ma petite histoire rapidement toujours bien bandé en elle lui donnant des petits coups de temps en temps tout en caressant son corps si doux et son visage se décomposa. Ensuite je lui expliquai pourquoi je pensais à cela depuis hier.
    
    — Ton non de famille, Paul ?
    — Tremblay !
    
    Un long silence, un long soupir et elle me prit les mains.
    
    — C’est ta sœur, Paul, pas de doute possible. C’est même moi qui suis allée la chercher à Chicoutimi à l’époque pour l’emmener chez ma sœur qui habitait chez nos voisins du sud, dans le temps, avant de revenir s’installer à Québec. Mais on ne m’avait pas dit qu’elle avait un frère. Les dates correspondent, les évincements, les noms de famille.
    — Mais… elle n’a jamais parlé de moi ?
    — Jamais ! Jamais elle n’a voulu nous parler de sa famille. Ma ...
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