Troublante révélation - Histoires de Sexe

Troublante révélation

... revenant à Pierrette.

Petit rire.

— Ben oui ! Ça t’excite on dirait, mon petit Paul, dit-elle en me tapant les fesses.
— C’est sûr ! Mais, tu disais que t’as été mariée deux ou trois fois.
— Ben oui, pour les convenances et la famille et aussi… enfin c’est un peu compliqué, Paul. C’était comme ça dans mon temps, pis j’aime ça avec un homme parfois et làj’ai ben le goût, je suis ben mouillée. Hum ! J’aime tes fesses !

Elle planta ses ongles dedans avant de me les lâcher. Outch !

Puis elle amena ma main droite sur son sexe poussant mon majeur dans sa fente qui dégouttait. J’y enfonçai mon doigt bien au chaud jusqu’à la jointure en repliant les autres et l’agitai doucement en effleurant ma bite. À son tour de grimacer.

— Mais, Marie le sait ?

Je repliai mon doigt vers le haut à la recherche du mystérieux point G. Une quête que j’avais entreprise 30 ans plutôt. Pierrette soupira très fort et plissa les yeux. « J’ai dû le trouver. Hi ! Hi ! »

— Je ne sais pas, je ne pense pas, ouf… Sa mère le sait c’est avec elle que j’ai découvert les petits plaisirs entre filles. Oh… On se lavait ensemble quand on était jeunes pour économiser l’eau chaude, dans une cuve. Hummm… On dormait ensemble aussi dans le même lit. Que de bons souvenirs… Ah ! Oui, Paul… Mais je ne sais pas si elle lui en a parlé. Ça… Ça m’étonnerait. On est plutôt secrets dans la famille et… pauvres quand on était gamines (grimace et soupir). Pis, me fourres-tu ? J’en peux pu ! fit-elle exaspérée ...

... la face rougie.

Le murmure de la cascade me sembla tout à coup plus fort tout comme l’odeur insistante des sapins.

— Tu faisais quoi déjà avec ta sœur, ma belle Pierrette, petite vicieuse va ?

Paf !

Une gifle cuisante sur ma joue droite qui me dévissa quasiment la tête. Outch !

— On ne demande pas ça à une dame, Paul, dit-elle amusée, les yeux vitreux.

Je plaçai un deuxième doigt en elle, encore sonné, en touchant avec la langue ma joue douloureuse. Elle courba les reins et gémit en mouillant plus. Elle me laissa faire quelques minutes en déglutissant fréquemment les yeux mi-clos.

Pendant ce temps, mon petit cerveau cherchait toujours le nom de la vedette mariée, avec des enfants, mais rien à faire. De plus, intello comme je suis, je ne lis jamais de magazines sur les stars commeLe Mercredi.

Mon pouce agace son clitoris. Elle en frémit, se tortille comme si elle avait une grosse envie de pisser et agrippe ma main soudainement très fort pour que je stoppe en laissant ses poumons se vider.

Son front heurte le mien en plein sur mes égratignures. Ça me brûle !

— Petit cochon, dit-elle tout bas, tu le fais bien, ce que je faisais avec ma sœur. Baise-moi tabarnouche !
— Oui, madame.

Elle se coucha sur le dos et remonta ses talons sur la table en soulevant ses seins pour amener ses mamelons à sa bouche. Je sortis mes doigts de son sexe pour empoigner ma bite en fixant son vagin aux grandes lèvres déjà gonflées et ouvertes. Je me crachai dans la main ...