1. L?immeuble


    Datte: 18/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... de vagabondé sur son corps, vient écraser sa généreuse poitrine. Je masse, j’écrase, je pince, j’étire, elle ne cesse de me dire que c’est bon avant de jouir encore.
    
    - Apprends-moi à te dominer, à te châtier.
    
    - Cela ne s’apprend pas. Cela dit, tu es sur la bonne voie, mon bel étalon.
    
    Quand elle se penche pour prendre une éponge, je me mets à la fesser si durement qu’elle pousse de petits cris à chaque fois que ma main s’aplatit sur ses fesses si joliment dodues. Quand enfin je plonge mon majeur dans son anus, elle hurle de bonheur.
    
    - Je crois que j’ai pigé. À l’avenir, c’est moi qui te ferai jouir.
    
    - Tu crois ça.
    
    Une belle baffe s’écrase sur sa joue.
    
    - J’en suis même certain. Maintenant que je sais ce que tu es, ce que tu veux. Mais pour moi, tu es et reste mon seul amour, c’est clair comme ça !
    
    Pour la toute première fois de ma courte vie, je m’étais clairement montrer autoritaire devant une femme. Sans me sécher, je m’enfile dans sa chambre. Je fouille partout et trouve son trésor. Sur le mur, je prends une paire de menotte et une badine. Je reviens vers elle, la menotte sans qu’elle ne m’oppose de résistance. De la badine, je me mets à fustiger sa croupe, son ventre, ses seins par de petits coups secs sur ce corps mouillé. Parfois, je m’arrête, je caresse. Quand elle jouit encore, mon sexe bien au fond de son fondement, elle me plaque ses mains sur ma nuque.
    
    - Tu es bon, continue. Ouiii, tu sais y faire, tu me fais du bien. T’es un amour, mon ...
    ... jeune amour.
    
    Après cela, dans son lit, collée contre moi, elle s’est endormie. À cause de son aveu, je n’ai pas fermé l’œil, surveillant sa respiration, les battements de son cœur, chacun de ses mouvements. Aussi, je me suis levé à l’aube, je me suis lavé avant de me rendre chez mes parents, y prendre de quoi me changer. Mon sac à la main, je suis revenue près de ma Madame Proust, Clélia Proust. Elle m’attend dans sa cuisine, nue, somptueuse. Elle me prend mon sac, le pose au sol, m’entraine sur ma terrasse, écarte un rosier.
    
    - Tu vois ces orties, c’est là la plante la plus précieuse que je possède.
    
    - Ne me dis pas que tu te frotte le corps avec ?
    
    - Si, mais pas seulement, j’en fais aussi d’excellentes soupes. Me dit-elle en me souriant
    
    À main nue, elle en arrache quelques tiges qu’elle glisse sur ses seins, son ventre, son sexe. Elle ne cesse de me fixer. Je crois qu’elle m’adresse un message et, ce message, je le comprends très vite, elle me veut autant que je la veux. Pas besoin de mot ou d’un dessin pour nous dire que nous nous désirons, l’un comme l’autre. Sur son corps, je plonge, je la saute, la viole, l’encule, la force, elle hurle, hurle à la mort quand elle jouit. À mon tour, au moment de lui remplir son cul, je pousse un râle digne d’un lion en rut. Je la fouette avec ses orties, elle aime, en réclame en me le clamant. Même que tout le voisinage doit maintenant être au courant. Je suis fou de cette femme aussi étrange que sublime du haut de ses plus de ...