1. L?immeuble


    Datte: 18/11/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Auteur: charime, Source: xHamster

    ... me suis relevé brusquement et l’ai giflée de deux puissantes baffes.
    
    J’ai voulu fuir sa présence. Elle m’a rattrapé. Je l’ai giflée à nouveau. Elle est tombée à genou, son visage contre mon ventre, ses bras enlaçant mon corps. Jamais je n’étais senti aussi mal dans ma peau. Je me suis mis à caresser sa chevelure comme pour me faire pardonner. Elle ne cessait de me dire des mercis à ne plus savoir qu’en faire, des mercis aussi humides que sincères. Je me suis agenouillé à mon tour, la serrant très fort dans mes bras. Là, nous nous sommes, pour la toute première fois, embrassés en nous promettons de ne plus jamais nous cacher quoique ce soit. Et puis, nos corps se sont renversés sur le côté. Pour la toute première fois, je faisais l’amour à une femme et quelle femme. Au matin, nos corps épuisés gisaient sur le sol, juste derrière la porte d’entrée. Quand elle s’est relevée, j’ai vu ces marques sur son dos, sur sa si belle croupe. J’étais encore couché à même le sol quand elle s’est à nouveau accroupie sur moi, s’empalant sur mon sexe tendu. Et là, comme pour me retenir, je n’ai pas pu m’empêcher…
    
    - Tu sais, depuis cette fois, sous la porte cochère, il n’y a plus eu que toi et rien que toi.
    
    - Tu plaisantes ? Qu’elle me dit.
    
    - Non, je suis sincère. Je suis fou de toi.
    
    - Toi, je t’ai giflé trop fort ce jour-là ou je ne m’y connais pas.
    
    - Peut-être, qui sait. Pourtant, je déteste la douleur.
    
    - Tu sais, mon grand, je ne suis pas une femme pour toi. J’aime les ...
    ... hommes qui…
    
    - Te brutalise, te viole, comme si je ne l’avais pas remarqué.
    
    - Pas seulement les hommes, les femmes aussi.
    
    - Waow. Et là, qui te rend heureuse en ce moment, un homme, une femme ?
    
    - Plus personne. D’où mon absence quand tu es entré.
    
    - Oh, il est parti.
    
    - Non, c’est moi qui suis allé le quitter. Il se montrait beaucoup trop violent, ne cherchant plus que son plaisir.
    
    Là, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai pincé ses mamelons par-dessus son pull, je les ai tordus et elle gémit tout en croisant ses mains dans son dos. Comme poussé par ses doux gémissements, j’ai continué de plus en plus fort encore. Soudain, elle s’est appuyée sur mes genoux de ses mains et elle jouit. Elle a joui si fort que sa chatte éjaculait comme la bite, ma bite qui la remplissait. Sa bouche est venue se poser sur la mienne. Sa langue avait un nouveau gout, le gout d’un plaisir immense. Je lui donnais le meilleur de moi parce que je ne voulais plus être que son amant, le seul, l’unique. Même si pour cela, j’allais devoir me montrer sadique parfois. Mais juste pour son plaisir, ses orgasmes.
    
    Épuisé par nos ébats, elle m’a entrainé sous la douche. De mon index, je me suis mis à suivre chaque trace laissé par ce fouet qui l’avait fait souffrir sans éprouver aucun plaisir. Parfois, j’appuie plus fort, elle gémit, son dos se creuse. D’une main, je caresse sa chatte en appuyant encore plus fort sur ces traces bleuâtres. Là, elle ne gémissait plus, elle jouissait. Ma main libre ...