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le coiffeuse pulpeuse et le vieux beau (2)
Datte: 18/11/2020, Catégories: Première fois Auteur: revasion, Source: xHamster
... tremblement de sa main dans la mienne m'indique que ma manoeuvre a fait mouche. Ne voulant pas perdre l'avantage de l'effet de surprise, je me penche vers son oreille pour lui rappeler qui je suis et, par dessus son épaule, je découvre sa poitrine qui se soulève, modelant la laine mohair qui par sa souplesse obéissante devient mon alliée pour trahir l'état de trouble qui envahit ma proie. Je me délecte en voyant les mouvements saccadés de ses deux globes volumineux rangés dans des armatures qui paraissent beaucoup plus sombres à travers le rose laineux de la robe encore plus ajustée à cet endroit stratégique. les deux hémisphères 2- Etreintes urbaines - côté Sylvie Depuis vendredi dernier, je me sens très perturbée par cette aventure incroyable que j'ai subie en coiffant monsieur Jacquemart, le copain de ma patronne. Comment ai-je pu tomber dans ce piège énorme et me laisser ainsi frôler puis frotter par le coude de ce pervers qui doit bien avoir soixante ans ? Je sais pourtant que cette version flatteuse que je me suis imposée pour essayer d'effacer le trouble qui s'est emparé de mon corps et qui revient inéluctablement à chaque fois que j'y pense est partiellement fausse. Je me suis bien offerte à cette tentative sans retenue de tripotage incongru. Depuis ces instants inédits et torrides, je ne me sens plus moi-même. Ma libido est totalement bouleversée. Finie la frustration conjugale où les craintes de mon mari concernant ma récente maternité et ses suites m'ont ...
... plongée dans une abstinence involontaire dont je n'imaginais pas la dimension avant cet aventure incroyable. Oui, moi, la petite maman comblée par sa progéniture tardive était maintenant tenaillée par un appétit sexuel qui m'envahissait et dont je sentais que je ne pourrai le satisfaire avec mon mari. Pour la première fois, je découvrais ce besoin de trouver ailleurs ce que mon mari était incapable de me fournir. Et celui qui était dépositaire de ma satisfaction venait d'entrer dans le salon. Tout en coiffant ma cliente, je sens la concentration nécessaire m'échapper. Il, oui, Lui, cet homme qui a ouvert pour moi une porte ignorée au plus profond de mon ventre est bien là. Tout à côté. Je sais qu'il m'a cherchée du regard. Je sais qu'il considère la petite séance irréelle de la semaine dernière simplement comme un préambule jubilatoire. J'ai deviné sa déception de ne pas se retrouver sur mon siège. Et moi, après avoir été pourchassée toute la semaine par autant d'images de suites lubriques à cet "accident" irréfléchi, j'ai pris la ferme décision de prendre mes distances pour ne plus me sentir métamorphosée en truie obscène. Après avoir expédié mon travail sur cette cliente, je viens voir Alex pour lui demander de sortir prématurément en prétextant que ma mère qui garde ma fille vient de m'expédier un SMS pour venir la récupérer plus tôt. Je ne peux m'empêcher de regarder dans le miroir celui que je m'efforce de considérer comme mon agresseur, en effaçant bien difficilement ...