1. Le journal d'une veuve (4)


    Datte: 17/11/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... limite de la rupture. De grosses cochonneries ont suivi dont je ne me serais pas crue capable. Mon moustachu, Kléber de son prénom, était vraiment bestial comme mec. Très poilu, très viril, ruisselant de sueur, il nous a honorées Samira et moi sans débander pendant une bonne partie de la nuit. J'ai eu un moment le nez sur ses grosses fesses poilues qui s'agitaient entre les cuisses repliées de Samira et je n'ai pu m'empêcher de leur faire la bise pendant que Léo me prenait par derrière en travers du lit. Je ne sais pas pourquoi mais c'est Kléber qui m'excitait le plus par son côté animal en rut. Je me suis fait lécher l'anus, une grande première, par ce gros cochon qui préparait le terrain à son pote Léo pour qu'il me sodomise. Et j'ai eu droit, grande première et comme Samira, à une double pénétration anale-vaginale qui a clôturé nos ébats, cavalant sur Kléber pendant que son pote dépucelait mon petit trou.
    
    Mais auparavant, je me suis surprise à lécher la rondelle de mon gros cochon qui, à juste titre, ma traitée de grosse cochonne. Léo et lui se sont ...
    ... relayés pour nous baiser à tour de rôle et plus je baisais, moins j'avais envie que ça s'arrête. C'était comme si je rattrapais cinq ans d'abstinence. Je me suis offert avec Kléber mon péché mignon dont j'avais oublié les délices, un 69 prolongé, tandis que Léo besognait Samira qui, ses longs cheveux étalés sur le lit et les pieds en l'air, couinait comme une grosse souris. J'avais des poils plein la bouche et Léo aussi après avoir dégusté Samira. C'était vraiment bestial, je vous dis, mais que c'était bon ! Les deux gars sont partis en pleine nuit, nous laissant roupiller dans notre fange. On est reparties de La Palmyre le lendemain matin, des cernes sous les yeux. Samira a reçu un sms de Léo pour lui faire promettre de revenir en août. Je le comprends, Léo. Ce n'est pas tous les jours qu'on a l'Etna et le Vésuve réunis dans son pieu. Et, j'ose le dire, le Stromboli en prime qui est moi-même, Christine. Qui vivra verra. Je tâcherai effectivement de revenir faire un tour le mois prochain, juste quelques jours car l'été, il y a vraiment trop de monde ici.
    
    (A suivre) 
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