Le journal d'une veuve (4)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... patient m'a trouvée un peu excitée mais je me suis évidemment bien gardée de dire pourquoi. Revenons donc à Samira qui m'accompagnait, toute heureuse de cette semaine au bord de mer. Pendant tout le voyage, elle s'est épanchée pour que je la connaisse mieux. Née en France de parents d'origine algérienne, elle avait réussi à faire de bonnes études, contrairement à ses frères, et avait saisi l'occasion d'un mariage avec un "Gaulois" pour s'affranchir de son milieu familial. Plus âgé qu'elle de dix ans, le mari l'avait initiée à la sexualité, lui avait fait deux enfants, mais elle s'était peu à peu émancipée sans pour autant divorcer ni se séparer. Athée et féministe, elle était fière de pouvoir montrer qu'une "beurette" n'avait rien à envier sur le plan des moeurs aux "Françaises de souche". Elle ne me cacha pas qu'elle pratiquait une certaine liberté sexuelle à laquelle son mari ne s'opposait pas, étant lui-même volage, l'autre adjectif pour libertin. "Plus je vieillis et plus j'aime faire l'amour", m'a-t-elle avoué dans un sourire de ses lèvres pulpeuses (mon rêve). J'ai repensé au "oh là là" de Branko et je me suis dit que notre séjour maritime promettait.
Nous avons dormi dans le même lit car malheureusement, je n'ai qu'une chambre dans mon réduit. Nues toutes les deux, ce qui m'a permis de constater l'harmonie de son corps aux formes pleines, sans excès et son pubis fourni de brune. Mais elle n'a esquissé aucun geste intime pendant notre sommeil. Elle était bien ...
... hétéro.
Le lendemain, nous avons mis le cap sur la plage. Je lui ai proposé la naturiste mais elle m'a dit qu'elle ne souhaitait pas se montrer nue en public "sauf les seins". Je n'ai pas insisté. Nous nous sommes mises en lisière de la zone naturiste, sur le secteur "textile". On était toutes les deux en bikini. Mais j'avais une grosse envie de me baigner à poil et j'ai demandé à Samira la permission de m'échapper le temps d'un bain. Retrouver l'eau de mer sans rien sur la peau m'a remplie de félicité. J'ai renoué avec un plaisir ancien et émouvant. En sortant de l'eau, j'ai rencontré Samira qui m'attendait sur le bord. Elle avait juste enlevé le haut, comme d'autres baigneuses sur cette plage. On s'est promenées sur le sable et j'ai senti mon amie un peu troublée. Visiblement, le spectacle de tous ces corps nus, beaux ou disgracieux, jeunes ou moins jeunes, constituait pour elle une révélation. Après une dizaine de minutes, hop, elle a baissé son slip. "J'ai l'impression d'être une voyeuse en gardant ma petite culotte", me confia-t-elle. Elle ne passait pas inaperçue avec son pubis fourni alors que la plupart des femmes étaient rasées et les hommes me regardaient aussi à cause de mes obus. Plus tard, elle m'avoua avoir été impressionnée par le naturel de ces hommes et surtout ces femmes déambulant dans le plus simple appareil. "Une belle leçon pour moi". Mais elle reconnut aussi que la vision de quelques belles bites au repos l'avait fait mouiller. Je l'avais définitivement ...