Le journal d'une veuve (4)
Datte: 17/11/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Micky, Source: Hds
... entrainé dans le fond du bateau où se trouvent de très sommaires couchettes. Je me suis retrouvée avec le moustachu, pas tellement mon type, mais j'étais chaude et j'avoue que la perspective de baiser dans une drague me plaisait assez. Je me suis assise sur les genoux du gars et je l'ai laissé fourrer sa moustache dans mon sillon mammaire. Je sentais sa bite durcir sous mes fesses. Je me suis levée, je l'ai déculotté et j'ai libéré son engin, court, épais et trapu comme lui pour le sucer pendant qu'il me pelotait les nénés. Des cris stridents sont montés du fond du bateau. Samira avait le plaisir bruyant et j'ai repensé alors à la réflexion de Branko à son sujet, "l'Etna et le Vésuve réunis". Le moustachu m'a entrainée en bas et m'a mise sur la deuxième couchette, en travers, pour m'honorer de sa langue (j'étais maintenant à poil) et je regardais alternativement sa tête grisonnante aller et venir entre mes cuisses et l'autre en train de pilonner Samira qui lui plantait ses ongles dans les fesses en beuglant.
Je ne me souviens plus de la suite dans les détails. Je me revois chevaucher le moustachu en matant son puissant torse velu tout en regardant Samira dans la même position, à ceci près qu'elle montrait une souplesse de hanches bien supérieure à la mienne, une vraie danseuse égyptienne. Je ne reconnaissais plus la femme discrète de l'accueil de l'Ehpad, comme si elle était désormais transcendée par la bite qui la visitait dans son tréfonds. Je dois admettre que son ...
... plaisir intense a infusé dans mon cerveau au point que j'ai connu plusieurs orgasmes avec le moustachu, impeccablement viril et légèrement bestial mais comptant seulement pour partie dans mon gros panard. C'était la deuxième fois que je baisais en présence d'un autre couple et cela contribua fortement à mon excitation. Mon amant moustachu ne s'en douta pas mais ce n'était pas important. En revanche, Samira goûta pleinement d'avoir été honorée par un beau mâle et celui-ci fut convaincu d'avoir profité d'un coup en or. Repues et rassasiées, on s'est baigné à poil dans l'eau de mer en sautant de la drague, sous l'oeil des deux dragueurs, qui nous ramenèrent au port la banane aux lèvres en nous promettant qu'ils seraient nos gardes du corps jusqu'à la fin de notre séjour.
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Mais ces galipettes aquatiques, pour excitantes qu'elles fussent, ont été inférieures à celles qui suivirent lors de notre dernière soirée à La Palmyre. Je ne sais pas comment ils se sont débrouillés mais nos deux dragueurs ont réussi à se rendre libres. Ils nous ont rejointes discrètement à l'appartement et alors a commencé une partie de cul mémorable, la plus belle de ma vie, je dois avouer. Après des préliminaires vite expédiés, on s'est retrouvé à quatre dans le même (et seul) lit, évidemment à poil car en plus, il faisait une chaleur d'étuve dans mon réduit. Jamais je ne m'étais retrouvée dans une telle promiscuité sexuelle, dans une odeur de sueur et de foutre, sur un plumard en vrac, chahuté à la ...