1. Le spectacle des sexes à fentes automatiques


    Datte: 25/04/2018, Catégories: fffh, freresoeur, nympho, bizarre, avion, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, facial, Oral pénétratio, fsodo, policier, fantastiqu, fantastiq, roadmovie, hfff, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... sirène.
    
    — Nous sommes tes sœurs, Ô Lord, nées comme toi des entrailles de Méphistophélès, Prince démon des Ténèbres, régnant sans partage sur les plans infernaux. Ô Baal, mmmon frère de feu, produit de la lave intestine et du flot spermatique du Styx, accomplis-toi pour te repaître de tes fautes, détruis, engendre et redeviens pleinement celui que tu es pour apposer ton flambeau infernal sur cette terre. Mmmmmmmmmm Hhhh….
    
    Au bord de l’étouffement, hagard, je finis par m’extraire de la puissance de ses griffes. Le spectacle qui s’offrait à moi était incroyable. Des sexes, un cercle de fentes tout autour de moi. Carnivora, Masochista, Sodomia, les cuisses écartées, assises, se livraient sans pudeur à la puissance sexuelle qui me dévorait de part en part. Un volcan grondait dans mes entrailles, la lave prête à jaillir, à libérer les accumulations de frustration que cette société terrestre m’avait imposées.
    
    Tous ces sexes, toutes ces fentes étaient miennes, je les possédais comme un enfant jouit des jouets qu’on vient de lui offrir. J’y plongeai tout mon visage, ne sachant plus qui je fouillais, quel orifice mes doigts comblaient. Tout n’était que plaintes sauvages et miaulements incestueux dans le cockpit. Mes sœurs maléfiques se caressaient, entrelaçaient leurs langues sans vergogne selon le même instinct primitif. J’étais le grand ordonnateur de cette immense partouze qui déchirait le ciel et sentais ma queue en battre le rythme.
    
    N’en pouvant plus, je me redressai ...
    ... en hurlant, arrachant au passage le tissu de mon pantalon comme une simple feuille de papier. Mon membre furieusement dressé me guidait, me contrôlait sans commune mesure. Je voyais rouge rouge rouge tandis qu’elles criaient sexe sexe sexe. Désormais nu comme un ver et debout malgré les secousses provoquées par l’engin, j’empoignai Carnivora par sa tignasse et la traînai sur les genoux pour empaler sa bouche sur ma queue. Son appétit était le même que dans mes souvenirs. Vorace. Carnivora me pompait à grands bruits de succion, ses yeux de braise dans les miens. Elle me suçait à fond, cognant son palais contre ma queue en gémissant pour me gratifier d’une gorge profonde démentielle. J’étais au bord de l’évanouissement.
    
    — Crache, suce, baise, dévore-moi, grognai-je, pendant qu’elle s’exécutait sans ciller, les mains crispées sur mes pectoraux.
    
    À genoux et balayant l’air de son épaisse crinière qu’elle ne cessait de rejeter dans son dos, elle gémissait, hoquetait, crachait, bavait sur ma queue, dégorgeant des paquets de salive à chaque mouvement. Ses joues se creusaient pour m’aspirer comme si elle tentait de me tirer mon dernier souffle de vie. Cette incroyable fellation était sur le point de me départir de mon humanité, j’en étais persuadé. Je réalisais maintenant combien Polly avait été précieuse dans la révélation de mon identité. Elle m’avait guidé tout au long de cette cavale sanglante en se débarrassant un à un des obstacles à l’aide de ses sortilèges, son cul et le ...
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