1. Le spectacle des sexes à fentes automatiques


    Datte: 25/04/2018, Catégories: fffh, freresoeur, nympho, bizarre, avion, Voyeur / Exhib / Nudisme entreseins, facial, Oral pénétratio, fsodo, policier, fantastiqu, fantastiq, roadmovie, hfff, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... infernal que j’imaginai être le premier à découvrir.
    
    — Mmm, que veux-tu savoir ? haleta-t-elle en se mordant les lèvres.
    
    D’un mouvement du pouce, je dégageai facilement l’entrée de son antre en repoussant la lingerie sur le côté. Ses petites lèvres au-dessous de sa toison soigneusement épilée s’offraient à moi sans retenue et j’avais maintenant une envie folle de les dévorer. Je déployai ma langue une nouvelle fois et commençai à titiller son bouton d’amour parfaitement dessiné. J’y déposai ma salive comme l’offrande sacrée à une déesse oubliée. J’étais l’unique adorateur d’un culte voué à mes désirs les plus enfouis.
    
    — Mmmm, demande, maître, et j’obéis…
    
    Je continuai à honorer cet autel pendant quelques instants, laissant le bassin de Verba se positionner pour mieux profiter de mon audace. Chaque coup de langue semblait un coup de poignard directement planté dans sa colonne vertébrale, chaque caresse de mes doigts une flèche invisible en plein cœur. J’étais l’ordonnateur d’un sacrifice dont Verba était la victime consentante.
    
    Lorsque je dégageai enfin ma bouche encore pleine de son clitoris, susurrant ma question à l’entrée de son orifice…
    
    — Qui suis-je ?
    
    Ses cuisses se contractèrent tandis que je fourrais ma langue dans sa fente, et l’oracle me répondit.
    
    — Mmm, tu es Michael Baal, Cinquième Prince des Abysses et Seigneur des mouches.
    
    Sa voix avait changé, ses gestes aussi. Les ongles plantés dans mon crâne, la jeune femme ne contrôlait plus rien. ...
    ... Elle était comme possédée, une force surnaturelle s’était emparée d’elle, inondant chacun des pores de sa peau. Elle s’apparentait à une marionnette dont je tirais les ficelles à ma guise, ficelles qui venaient de se briser dans ma main à sa réponse.
    
    Abasourdi, je haussai le regard à la recherche d’une sincérité dérobée, effleurant au passage les monts de ses seins, la tête nichée entre ses cuisses. J’étais tétanisé, le cœur à cent à l’heure cognant dans ma poitrine. Mes poils se hérissaient comme mille tentacules, mes organes croissaient à la vitesse de l’éclair et je sentais mes os s’entrechoquer comme des billes. J’avais l’impression d’achever une mutation commencée un an plus tôt, précisément au moment où j’avais rencontré la défunte Polly, celle que les abysses avaient nommée Carnivora.
    
    Pris d’une incroyable panique et emporté par un torrent de violence, je plantai deux doigts dans la fente de cet oracle qui m’assénait cette insupportable vérité.
    
    — Raconte ! Dis-moi la vérité sur mon père, sur ces putains d’abysses, sur ma putain de destinée ici !!! hurlai-je.
    
    Je la fouillais maintenant de toute part, ma langue s’activant sur son clitoris avec délectation. Je léchais, lapais, crachais, mordais cette chair qui exigeait caresses et démence. Verba appuyait de toutes ses forces sur mon crâne, enfouissant mon visage au plus profond de ses cuisses pour m’obliger à poursuivre ce rituel. Arc-boutée sur ses jambes, elle récitait sa mélopée à la manière d’un chant de ...
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