1. Police polissonne (18)


    Datte: 17/11/2020, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... s’élance, Sonia le regarde évoluer avec aisance ; il semble survoler l’épreuve. Elle a à peine fini de récupérer qu’il est déjà de retour, essoufflé mais heureux de sa performance.
    
    — Putain, t’es balaise !
    
    — Tu le deviendras aussi, courage, viens on va marcher un peu.
    
    Il l’aide à se relever et à faire quelques pas, puis à trottiner doucement et faires des mouvements d’étirement ; le sergent regarde la scène sans rien dire.
    
    — Rassemblement ! Tout le monde est passé ? Nous allons au gymnase vous vous changerez dans les vestiaires, surtout ceux et celles qui se sont pris pour des canards. Le sol du gymnase est en parquet ; alors c’est baskets ou pieds nus. Compris ?
    
    — Compris ! répond la petite troupe.
    
    Ils prennent le chemin de la salle, se changent ; Sonia, pour se relaxer desRangers, opte pour les pieds nus et ils se retrouvent tous au pied de la corde lisse fixé au plafond du gymnase dont la hauteur donne le vertige.
    
    — Approchez ! Comme c’est Mademoiselle Sonia Wolski qui a ouvert le bal, c’est à vous. C’est au chronomètre. Prête ? Top !
    
    Elle se place au pied de la corde, la saisie à deux mains. Elle se revoit à l’école quand elle avait passé le brevet des collèges avec cette corde glissante et ses bras trop maigres pour la porter jusqu’en haut. Elle prend une grande respiration et tire, une fois, deux fois…trois fois. Ses muscles se durcissent, elle n’arrive plus à se soulever. Elle regarde le plafond, il est loin, trop haut, c’est le désespoir ; ...
    ... alors elle prend une décision. Elle entoure sa jambe droite de la corde, la pince à son pied avec son pied gauche, pousse, tire, pousse, tire et elle monte ; le sergent hurle :
    
    — À la force des bras ! Ou je vous mets un zéro !
    
    Elle n’en a que faire et continue, et elle touche au but puis redescend. Arrivée en bas le sergent lui hurle encore dessus :
    
    — Vous n’avez pas entendu ? je vous mets un zéro !
    
    — Sergent, vous ne me l’aviez pas dit au début, alors ?
    
    Le sergent reste sans voix, se tourne vers le caporal que lui fait un signe d’évidence en levant les sourcils.
    
    — Bon, de toute façon au dernier test vous serez éliminée.
    
    Pour Sonia c’est le coup de trop, elle devient tigresse comme le matin ; elle a du mal à maîtriser l’envie de lui mettre un coup de pied dans les roubignoles. Heureusement Olivier arrive.
    
    — Laisse tomber, tu vas te rattraper au combat, j’en suis sûr.
    
    — Tu parles, à part le combat de rue je n’en connais rien d’autre.
    
    — Quoi ? La savate ?
    
    — Oui c’est un peu ça.
    
    — Alors tu vas tout donner sers-toi de tes pieds, de tout ce que tu peux.
    
    — Je t’assure que ça va marcher …
    
    Elle essaie de reprendre confiance en elle, mais le moral n’y est pas.
    
    — Sonia Wolski ?
    
    — C’est moi, répond-elle à l’homme qui s’approche avec une paire de gants de boxe à la main.
    
    — C’est à vous, venez que je vous équipe. Vous pratiquez un sport de combat ?
    
    — Non Monsieur, juste dans la rue.
    
    — Alors donnez tout. Allez-y, le petit japonais n’est ...
«1...345...8»